Les députés avaient tout de même formulé une dizaine de recommandations comme «l’harmonisation de la lutte contre les inondations en définissant l’ancrage institutionnel, le renforcement du contrôle de l’occupation des bas-fonds, des lacs et les dépressions», rapporte le Bureau d’information gouvernementale (Big) sur son site.
Et le Ministre de l’Eau et de l’assainissement avait assuré que certaines des recommandations de la Mission d’information parlementaire sont «déjà prises en charge par le Gouvernement».
Devant les députés, le ministre des Collectivités territoriales, du développement et de l’aménagement du territoire avait mentionné que les travaux de la phase 2 du Projet de gestion de gestion des eaux pluviales et d’adaptation au changement climatique (Progep), d’un coût de 15 milliards de FCFA, qui avaient démarré depuis février 2021 et devaient durer 12 mois, avaient été exécutés à 95 %. Ça c’était il y a un an, au même mois de juin.
«Cette année, on ne verra pas de canots à Keur Massar, car toutes les dispositions sont prises par le président de la République», avait parié Oumar Guèye. S’il est vrai que cela a été un pari réussi en 2021, sa parole, et surtout les conclusions de la mission d’information sur le Pndli, restent encore à l’épreuve cette année où la saison des pluies «pourrait s’installer de façon précoce sur une bonne partie du territoire», comme avait alerté le Cadre national des services climatologiques (Cnsc), coordonné par l’Agence nationale de l’aviation civile et de la météorologie (Anacim), début mai dernier.
La structure signalait également que de juillet à septembre, la pluviométrie pourrait être «excédentaire sur tout le territoire», sur fond de «risque élevé d’avoir des événements pluviométriques intenses», écrivait l’Aps.
Bes Bi
Et le Ministre de l’Eau et de l’assainissement avait assuré que certaines des recommandations de la Mission d’information parlementaire sont «déjà prises en charge par le Gouvernement».
Devant les députés, le ministre des Collectivités territoriales, du développement et de l’aménagement du territoire avait mentionné que les travaux de la phase 2 du Projet de gestion de gestion des eaux pluviales et d’adaptation au changement climatique (Progep), d’un coût de 15 milliards de FCFA, qui avaient démarré depuis février 2021 et devaient durer 12 mois, avaient été exécutés à 95 %. Ça c’était il y a un an, au même mois de juin.
«Cette année, on ne verra pas de canots à Keur Massar, car toutes les dispositions sont prises par le président de la République», avait parié Oumar Guèye. S’il est vrai que cela a été un pari réussi en 2021, sa parole, et surtout les conclusions de la mission d’information sur le Pndli, restent encore à l’épreuve cette année où la saison des pluies «pourrait s’installer de façon précoce sur une bonne partie du territoire», comme avait alerté le Cadre national des services climatologiques (Cnsc), coordonné par l’Agence nationale de l’aviation civile et de la météorologie (Anacim), début mai dernier.
La structure signalait également que de juillet à septembre, la pluviométrie pourrait être «excédentaire sur tout le territoire», sur fond de «risque élevé d’avoir des événements pluviométriques intenses», écrivait l’Aps.
Bes Bi