Les Dakarois ont vécu hier une journée de calvaire. A la grève de 72 h déclenchée par les chauffeurs des bus TATA, est venue s’ajouter la première vraie pluie de l’hivernage 2023 dans la capitale. A la descente, les garages et points de transport étaient bondés de monde qui attendait sous la pluie, un hypothétique moyen de transport pour rejoindre leurs domiciles respectifs, constate "Le Témoin.
En effet, le mot d’ordre de grève des chauffeurs des bus TATA a été bien suivi dans les départements de Dakar, Rufisque et Pikine. Des bus immobilisés dans les terminus, des arrêts de bus bondés de personnes qui peinent à se rendre à destination, tel est décor sur la RN1, de Rufisque à Poste Thiaroye, en passant par Mbao.
D’autres moyens de transport alternatifs comme les Ndiaga Ndiaye, les cars rapides et même les motos Jakarta, ont été assaillis par les usagers. Mais il fallait casquer fort puisque les prix des transports ont connu une hausse, à prendre ou à se laisser en rade. Pourtant, des usagers soutiennent la grève déclenchée par les chauffeurs de bus TATA, pour réclamer une amélioration de leur situation et surtout, pour revendiquer : le statut des chauffeurs, la valorisation des salaires et des conditions de travail précaires auxquelles ils sont constamment contraints dans ce secteur.
Les usagers pourraient vivre les mêmes calvaires aujourd’hui et demain, si les dirigeants de l’AFTU ne sont pas contraints par le ministère des Transports, à s’asseoir avec les grévistes, pour une piste de sortie.
En effet, le mot d’ordre de grève des chauffeurs des bus TATA a été bien suivi dans les départements de Dakar, Rufisque et Pikine. Des bus immobilisés dans les terminus, des arrêts de bus bondés de personnes qui peinent à se rendre à destination, tel est décor sur la RN1, de Rufisque à Poste Thiaroye, en passant par Mbao.
D’autres moyens de transport alternatifs comme les Ndiaga Ndiaye, les cars rapides et même les motos Jakarta, ont été assaillis par les usagers. Mais il fallait casquer fort puisque les prix des transports ont connu une hausse, à prendre ou à se laisser en rade. Pourtant, des usagers soutiennent la grève déclenchée par les chauffeurs de bus TATA, pour réclamer une amélioration de leur situation et surtout, pour revendiquer : le statut des chauffeurs, la valorisation des salaires et des conditions de travail précaires auxquelles ils sont constamment contraints dans ce secteur.
Les usagers pourraient vivre les mêmes calvaires aujourd’hui et demain, si les dirigeants de l’AFTU ne sont pas contraints par le ministère des Transports, à s’asseoir avec les grévistes, pour une piste de sortie.