A la minute où nous mettons cet article en ligne, la circulation de Dakar est encore perturbée, conséquence de la pluie qui continue de se déverser. Quand le ciel ouvre ses vannes, tout est au ralenti dans la capitale.
La ville de Dakar vit encore sous la hantise des pluies, occasionnant ainsi des flaques d’eau dans la circulation.
Semblables à des marées, ces flaques obligent les automobilistes à les contourner, ce qui crée un véritable désordre le long des routes. Même l’autoroute à péage n’est pas épargnée. De Mbao au centre-ville, les longues files de voitures avancent au pas de caméléon.
Cet état de fait repose la lancinante question des compétences de nos prétendus ingénieurs en travaux routiers et en assainissement.
Depuis Mathusalem, on parle de bassins de rétention et de canaux d’évacuation des eaux pluviales. Mais, à vrai dire, ce sont des bassins qui ne retiennent rien et des canaux qui n’évacuent rien non plus.
Sur le plan économique, les dommages sont considérables car ce sont des centaines de millions de pertes enregistrées par les secteurs public et privé. Si on y ajoute la paresse des Sénégalais et leur manie à toujours être en retard, pourra-t-on atteindre les objectifs du Plan Sénégal Emergent ?
Bref, ces eaux pluviales qui inondent les routes et occasionnent des embouteillages monstres devraient faire l’objet d’une étude technique sérieuse. Sinon, chaque année, on vivra le même cauchemar et on bricolera les routes en attendant le prochain hivernage.
C’est ce que l’on pourrait appeler l’éternel recommencement
senenews
La ville de Dakar vit encore sous la hantise des pluies, occasionnant ainsi des flaques d’eau dans la circulation.
Semblables à des marées, ces flaques obligent les automobilistes à les contourner, ce qui crée un véritable désordre le long des routes. Même l’autoroute à péage n’est pas épargnée. De Mbao au centre-ville, les longues files de voitures avancent au pas de caméléon.
Cet état de fait repose la lancinante question des compétences de nos prétendus ingénieurs en travaux routiers et en assainissement.
Depuis Mathusalem, on parle de bassins de rétention et de canaux d’évacuation des eaux pluviales. Mais, à vrai dire, ce sont des bassins qui ne retiennent rien et des canaux qui n’évacuent rien non plus.
Sur le plan économique, les dommages sont considérables car ce sont des centaines de millions de pertes enregistrées par les secteurs public et privé. Si on y ajoute la paresse des Sénégalais et leur manie à toujours être en retard, pourra-t-on atteindre les objectifs du Plan Sénégal Emergent ?
Bref, ces eaux pluviales qui inondent les routes et occasionnent des embouteillages monstres devraient faire l’objet d’une étude technique sérieuse. Sinon, chaque année, on vivra le même cauchemar et on bricolera les routes en attendant le prochain hivernage.
C’est ce que l’on pourrait appeler l’éternel recommencement
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