«Aujourd’hui nous assistions à plus de 45 organisations syndicales dans le secteur de l’éducation. Et entre 2016 et aujourd’hui, il y a à peu près 20 à 21 syndicats qui sont nés. Donc, cette floraison de syndicats nécessite l’organisation de la création de syndicat au Sénégal», a-t-il confié, appelant à «assainir le secteur».
Vote électronique et fiabilité du fichier
Relativement au processus lui-même, l’arrêté de 2016 a introduit fondamentalement deux modifications : l’une liée au mode de vote qui est électronique. L’autre c’est le nombre de jours de vote.
«Pour le vote électronique, au début, nous partie syndicale, étions très réticents par rapport à la fiabilité du fichier, aux possibilités d’accès avec les hackers mais également qui devait gérer une plateforme qui serait neutre. Mais on a eu des assurances après et c’est comme ça que les syndicats ont plongé», a étayé M. Diédhiou.
Il souligne que le ministère du Travail a dupliqué le même modèle avec le vote électronique. C’est avec les mêmes conditions que les élections paritaires ont été organisées.
«Ils essayent d’améliorer un tout petit peu la plateforme qui devra accueillir beaucoup d’enseignants. Parce que l’enseignant est convaincu qu’il faut alléger le processus. Quoi qu’on dise, le vote électronique, malgré ses contraintes liées à l’accessibilité au net, à l’électricité, a créé des avantages. On vote quand on veut, où on veut et cela pendant 4 jours, le quantum horaire lui-même n’est pas atteint», a fait savoir M. Amidou Diédhiou.
Bes Bi
Vote électronique et fiabilité du fichier
Relativement au processus lui-même, l’arrêté de 2016 a introduit fondamentalement deux modifications : l’une liée au mode de vote qui est électronique. L’autre c’est le nombre de jours de vote.
«Pour le vote électronique, au début, nous partie syndicale, étions très réticents par rapport à la fiabilité du fichier, aux possibilités d’accès avec les hackers mais également qui devait gérer une plateforme qui serait neutre. Mais on a eu des assurances après et c’est comme ça que les syndicats ont plongé», a étayé M. Diédhiou.
Il souligne que le ministère du Travail a dupliqué le même modèle avec le vote électronique. C’est avec les mêmes conditions que les élections paritaires ont été organisées.
«Ils essayent d’améliorer un tout petit peu la plateforme qui devra accueillir beaucoup d’enseignants. Parce que l’enseignant est convaincu qu’il faut alléger le processus. Quoi qu’on dise, le vote électronique, malgré ses contraintes liées à l’accessibilité au net, à l’électricité, a créé des avantages. On vote quand on veut, où on veut et cela pendant 4 jours, le quantum horaire lui-même n’est pas atteint», a fait savoir M. Amidou Diédhiou.
Bes Bi