Bien qu’il reste "toujours des choses" à réaliser, le Sénégal a fait beaucoup d’efforts sur tout ce qui est domaines sociaux, économiques. Ce qui constitue énormément d’acquis. La sociologue estime qu’une bonne planification nécessite par exemple des ’’informations diversifiées sur la population", d’où l’importance d’avoir "des informations en temps réel", qui facilitent la prise de décisions des autorités publique en particulier.
Les données en question doivent se retrouver en milieu urbain et dans le monde rural, ainsi que "dans tous les domaines, pour qu’on puisse avoir des politiques inclusives", a poursuivi la sociologue, lors d’un atelier de formation des professionnels de l’information sur les sources et l’utilisation des statistiques sensibles au genre.
"Dans le secteur informel, les femmes dominent, si elles ne sont pas des responsables d’entreprise, etc. Et je pense que ce sont des choses qu’il faut régler en termes de formation et de filières porteuses adaptées. Il faut lever les stéréotypes, un métier n’a pas de sexe. Les gens sont sur un métier, parce qu’ils trouvent qu’il est plus rentable", a-t-elle, indiqué.
Elle observe que pour des métiers comme la cuisine, la coiffure et la couture, "il y a beaucoup plus d’hommes que de femmes", ajoutant que que cela tient simplement au fait que "ce sont des métiers qui marchent".
D’après Aps, la sociologue soutient qu’il y a lieu de sortir de certaines considérations et "former les enfants sur des métiers porteurs qui sont adaptés au marché du travail". Selly Ba rappelle que "le genre est une approche qui permet de prendre en compte les besoins spécifiques des hommes et des femmes’’, sachant qu’ils n’’’ont pas les mêmes besoins’’. Selon elle, "socialement, ce que l’on attend d’un homme est différent de ce que l’on attend d’une femme".
Mme Bâ note que "le genre essaie de prendre en compte ces besoins spécifiques, pour qu’on puisse être dans cette dynamique d’inclusion et qu’on puisse impliquer tout le monde".
"Aujourd’hui, on ne peut pas mettre tout le monde dans le même sac, parce que les gens sont différents. Donc, il faut prendre en compte leur spécificité et leurs besoins spécifiques", a préconisé la sociologue.
Les données en question doivent se retrouver en milieu urbain et dans le monde rural, ainsi que "dans tous les domaines, pour qu’on puisse avoir des politiques inclusives", a poursuivi la sociologue, lors d’un atelier de formation des professionnels de l’information sur les sources et l’utilisation des statistiques sensibles au genre.
"Dans le secteur informel, les femmes dominent, si elles ne sont pas des responsables d’entreprise, etc. Et je pense que ce sont des choses qu’il faut régler en termes de formation et de filières porteuses adaptées. Il faut lever les stéréotypes, un métier n’a pas de sexe. Les gens sont sur un métier, parce qu’ils trouvent qu’il est plus rentable", a-t-elle, indiqué.
Elle observe que pour des métiers comme la cuisine, la coiffure et la couture, "il y a beaucoup plus d’hommes que de femmes", ajoutant que que cela tient simplement au fait que "ce sont des métiers qui marchent".
D’après Aps, la sociologue soutient qu’il y a lieu de sortir de certaines considérations et "former les enfants sur des métiers porteurs qui sont adaptés au marché du travail". Selly Ba rappelle que "le genre est une approche qui permet de prendre en compte les besoins spécifiques des hommes et des femmes’’, sachant qu’ils n’’’ont pas les mêmes besoins’’. Selon elle, "socialement, ce que l’on attend d’un homme est différent de ce que l’on attend d’une femme".
Mme Bâ note que "le genre essaie de prendre en compte ces besoins spécifiques, pour qu’on puisse être dans cette dynamique d’inclusion et qu’on puisse impliquer tout le monde".
"Aujourd’hui, on ne peut pas mettre tout le monde dans le même sac, parce que les gens sont différents. Donc, il faut prendre en compte leur spécificité et leurs besoins spécifiques", a préconisé la sociologue.