Les masquent tombent pour le leader de Pastef, « Les Patriotes ». L’opposant qui se définit comme le politique le plus intègre du pays, semble être un lapin flingueur. Une employée d’un Salon de massages, dénommé « Sweet Beauty » l’accuse de l’avoir violé plusieurs fois, c’est-à -dire de manière répétitive.
Ainsi, découvre-t-on, Ousmane Sonko avec sa personnalité difficile à cerner, se cache des pulsions débordante. Dégoulinant d’énergie, Sonko peinerait à contrôler ses pulsions devant les nymphes et belles créatures de la vie. Sa chaleur masculine l’a obligé à réclamer des séances de massages dans cadre convivial. Il en profite pour satisfaire sa libido.
Face aux multiples refus d’assouvir ses désirs, Sonko a décidé un jour de passer à une vitesse supérieure. Et, pour la première fois, il l’a étranglé et la contraindre à avoir des rapports sexuels. Confuse et prise de honte, sa victime avait voulu garder le silence sur cet acte mortifiant, espérant que cela ne reproduise plus.
Mais, elle n’avait mesuré l’appétit sexuel intensif du leader de Pastef. Déterminé à goûter injustement des fruits interdits, Sonko revient régulièrement, la contraindre à avoir des rapports sexuels. N’étant pas une dévergondée ou femme facile, elle tente une résistance qui finit toujours, par être freinée par la menace de la faire disparaître de la surface de la terre.
Faisant montre de sa toute puissance et de sa position dans le pays, Ousmane Sonko, sans crainte aucune réussit toujours à prendre son pays. Mais, pour mieux maîtriser sa proie, en vrai déprédateur sexuel, il revient toujours, avec deux armes cachées sous une gaine, portées au niveau de sa taille. Avec lesquelles armes, il menaçait sa victime. « Ousmane Sonko m’indique que personne ne pourra me croire, si raconte les faits » lit-on, sur la plainte d’Adji Sarr, déposée à la Brigade des Recherches. Dans tous les cas, menaçait-il, sa victime serait morte, avant de le dénoncer.
Transformée en objet sexuel, Adji Sarr, dit ne plus pouvoir continuer à subir les assauts répétés de son violeur. Déterminée à en finir, elle a décidé de porter l’affaire devant les juridictions compétentes. « Je n’arrive plus à vivre sous ses viols répétés », se plaint-elle.
La victime s’estime aujourd’hui, avoir une vie transformée, un stress perpétuel et une honte de son corps, consécutifs aux viols répétés. Hier seulement, révèle-t-elle, Sonko l’a envoyé un autre message, disant qu’il allait passer et de l’attendre. Suffisant pour elle de saisir la justice afin de mettre fin à son calvaire au goût fade et insipide.
Et du côté de loi, l’article 12 précise, « Si la menace faite avec ordre ou sans condition a été verbale, le coupable sera puni d’un emprisonnement de 6 mois à 2 ans et d’une amende de 20 000 FCfa à 75 000 FCfa ».
Ailleurs, l’article 320 stipule que : « Tout acte de pénétration sexuelle de quelque nature qu’il soit sur la personne d’autrui par violence, contrainte, menace ou surprise est un viol. Ce délit sera puni d’un emprisonnement de 5 à 10 ans ».
Suite à cette plainte déposée à la Brigade des Recherches, l’image d’Ousmane Sonko risque de connaître une autre empreinte. « Violeur un jour, violeur à vie », dit-on. Quelle stratégie de défense va mettre sur pied pour se tirer d’affaires d’une accusation de viols répétés et de menaces de morts. D’autant plus qu’une source indique des prélèvements de spermes sont faits, suite à ses derniers assauts.
Piégé, la Dame aurait été conseillée à différer sa plainte, le temps de récolter des preuves matérielles. Chose déjà , faite.
Affaire à suivre…
Ainsi, découvre-t-on, Ousmane Sonko avec sa personnalité difficile à cerner, se cache des pulsions débordante. Dégoulinant d’énergie, Sonko peinerait à contrôler ses pulsions devant les nymphes et belles créatures de la vie. Sa chaleur masculine l’a obligé à réclamer des séances de massages dans cadre convivial. Il en profite pour satisfaire sa libido.
Face aux multiples refus d’assouvir ses désirs, Sonko a décidé un jour de passer à une vitesse supérieure. Et, pour la première fois, il l’a étranglé et la contraindre à avoir des rapports sexuels. Confuse et prise de honte, sa victime avait voulu garder le silence sur cet acte mortifiant, espérant que cela ne reproduise plus.
Mais, elle n’avait mesuré l’appétit sexuel intensif du leader de Pastef. Déterminé à goûter injustement des fruits interdits, Sonko revient régulièrement, la contraindre à avoir des rapports sexuels. N’étant pas une dévergondée ou femme facile, elle tente une résistance qui finit toujours, par être freinée par la menace de la faire disparaître de la surface de la terre.
Faisant montre de sa toute puissance et de sa position dans le pays, Ousmane Sonko, sans crainte aucune réussit toujours à prendre son pays. Mais, pour mieux maîtriser sa proie, en vrai déprédateur sexuel, il revient toujours, avec deux armes cachées sous une gaine, portées au niveau de sa taille. Avec lesquelles armes, il menaçait sa victime. « Ousmane Sonko m’indique que personne ne pourra me croire, si raconte les faits » lit-on, sur la plainte d’Adji Sarr, déposée à la Brigade des Recherches. Dans tous les cas, menaçait-il, sa victime serait morte, avant de le dénoncer.
Transformée en objet sexuel, Adji Sarr, dit ne plus pouvoir continuer à subir les assauts répétés de son violeur. Déterminée à en finir, elle a décidé de porter l’affaire devant les juridictions compétentes. « Je n’arrive plus à vivre sous ses viols répétés », se plaint-elle.
La victime s’estime aujourd’hui, avoir une vie transformée, un stress perpétuel et une honte de son corps, consécutifs aux viols répétés. Hier seulement, révèle-t-elle, Sonko l’a envoyé un autre message, disant qu’il allait passer et de l’attendre. Suffisant pour elle de saisir la justice afin de mettre fin à son calvaire au goût fade et insipide.
Et du côté de loi, l’article 12 précise, « Si la menace faite avec ordre ou sans condition a été verbale, le coupable sera puni d’un emprisonnement de 6 mois à 2 ans et d’une amende de 20 000 FCfa à 75 000 FCfa ».
Ailleurs, l’article 320 stipule que : « Tout acte de pénétration sexuelle de quelque nature qu’il soit sur la personne d’autrui par violence, contrainte, menace ou surprise est un viol. Ce délit sera puni d’un emprisonnement de 5 à 10 ans ».
Suite à cette plainte déposée à la Brigade des Recherches, l’image d’Ousmane Sonko risque de connaître une autre empreinte. « Violeur un jour, violeur à vie », dit-on. Quelle stratégie de défense va mettre sur pied pour se tirer d’affaires d’une accusation de viols répétés et de menaces de morts. D’autant plus qu’une source indique des prélèvements de spermes sont faits, suite à ses derniers assauts.
Piégé, la Dame aurait été conseillée à différer sa plainte, le temps de récolter des preuves matérielles. Chose déjà , faite.
Affaire à suivre…