Les sources du journal EnQuête révèlent que Cheikh Mbacké Gadiaga fait l'objet d'une plainte de la part de l'aide de camp du Président Macky Sall. Le plaignant n'en pouvait plus de voir Cheikh Mbacké Gadiaga utiliser son nom à des fins peu recommandables. En effet, rapporte-t-on, "l'ami" de Cheikh Amar faisait croire au patron de TSE qu'il était tout le temps cité en Conseil des ministres. Pour étayer ses propos, Gadiaga disait à Cheikh Amar que c'est l'aide de camp du chef de l'Etat qui lui faisait tout le temps le compte rendu des réunions du Conseil des ministres. Ainsi suite à la plainte de l'aide de camp du Président, Cheikh Mbacké Gadiaga a été entendu par la Division des investigations criminelles (DIC) qui lui a demandé de rester à la disposition de la justice.
Outre cette affaire, il aurait roulé dans la farine Cheikh Amar à hauteur de 7 millions, suite à une affaire de vente de véhicules. Toujours est-il que ce n'est pas la première fois que le patron de TSE se trouve être victime des agissements de Gadiaga. Dans la première affaire dans laquelle était citée la styliste Nabou Ozé (Seynabou Diallo), Cheikh Mbacké Gadiaga se disait être mandaté par le Premier-ministre d'alors Aminata Touré. Réputé très proche de Cheikh Amar, Cheikh Gadiaga avait fait croire à l'homme d'affaires que le Premier ministre désirait un prêt de 30 millions de francs Cfa pour "équiper ses nouveaux bureaux". Pour mieux ferrer le milliardaire, M. Gadiaga lui avait fait croire que Mimi Touré voulait le recevoir.
Outre cette affaire, il aurait roulé dans la farine Cheikh Amar à hauteur de 7 millions, suite à une affaire de vente de véhicules. Toujours est-il que ce n'est pas la première fois que le patron de TSE se trouve être victime des agissements de Gadiaga. Dans la première affaire dans laquelle était citée la styliste Nabou Ozé (Seynabou Diallo), Cheikh Mbacké Gadiaga se disait être mandaté par le Premier-ministre d'alors Aminata Touré. Réputé très proche de Cheikh Amar, Cheikh Gadiaga avait fait croire à l'homme d'affaires que le Premier ministre désirait un prêt de 30 millions de francs Cfa pour "équiper ses nouveaux bureaux". Pour mieux ferrer le milliardaire, M. Gadiaga lui avait fait croire que Mimi Touré voulait le recevoir.