D’après le document, l’Ofnac accuse réception de ladite plainte et précise qu’il tiendra informer à l’organisation de la suite qui sera réservée à celle-ci. La plaine énumère plusieurs points saillants commis par les mis en cause notamment, la fraude, le détournement d’objectif et la spéculation, la cession illégale de l’entreprise à la Société, les fermes de la Teranga (LFT), sur le caractère nébuleux de la cession et de l’acquisition des 20.000 hectares, sur la main basse ambiguë de Frank Timis sur l’achat irrégulier de cette assiette foncière.
Selon le Revated, «Frank Timis a fait main basse sur 20 000 hectares de terres dans le nord du Sénégal soit 20 000 ha de la Ferme de Ndiael dans des conditions purement nébuleuses constituant d’actes de corruption de fraude et de spéculation».
Et la plainte a pour objectif de «réappropriation des terres de la vallée spoliées à grande échelle par des multinationales dans des situations douteuses et spéculatives au détriment de tout une génération marquée par une jeunesse en détresse et en consternation sur leur terre qui est la seule et l’unique source d’épanouissement économique qu’elle a hérité de leurs aïeuls».
Selon le Revated, «Frank Timis a fait main basse sur 20 000 hectares de terres dans le nord du Sénégal soit 20 000 ha de la Ferme de Ndiael dans des conditions purement nébuleuses constituant d’actes de corruption de fraude et de spéculation».
Et la plainte a pour objectif de «réappropriation des terres de la vallée spoliées à grande échelle par des multinationales dans des situations douteuses et spéculatives au détriment de tout une génération marquée par une jeunesse en détresse et en consternation sur leur terre qui est la seule et l’unique source d’épanouissement économique qu’elle a hérité de leurs aïeuls».