Observant un break sur les réseaux sociaux depuis sa sortie de prison, l’ancien chroniqueur politique de la 2stv a repris du service, ces derniers jours, à travers sa page officielle. Soit en publiant des anciennes vidéos du président de la République qui se disqualifie lui-même de la présidentielle 2024, à travers la phrase : « Nul ne peut faire plus de deux mandats successifs » ou pour alerter.
Dans sa dernière publication, il a écrit : « j’étais parti me ressourcer auprès d’un vieux père, un sage, mon confident. Depuis ma sortie de prison, nous ne nous sommes pas vus. Mon état de santé reste précaire et lui, son âge ne lui permet plus aucun déplacement. Au cours de nos échanges il m’a confié ceci : «Sama dom kasso moy bamel lou nit si kaw souf. Kou la fa dougueul rek yéném moy gua faatou. Kon khamal ni batay dji paréguoun si séni pexé. Yalla na la yalla sam’’ (Mon fils, la prison est le tombeau des vivants. Celui qui est capable de te jeter en prison, a pour intention de te tuer. Donc fais attention et sache qu’ils n’en ont pas fini avec toi, Ndlr)».
Pape Alé Niang alerte ainsi ses proches et l’opinion publique, qu’il vit un traumatisme profond et soutient qu’il pourrait être «kidnappé» de nouveau par le juge du deuxième cabinet, sur instruction du président de la République Macky Sall. Il dit voir sa liberté menacée.
«À chaque fois que je suis dans ma voiture ou dans la rue, je vis la hantise de me faire enlever par la police, à n’importe quel moment. Le soir, j’ai l’habitude de dire à mon épouse que, tant qu’il n’est pas 21h, le juge du deuxième cabinet Mamadou Seck peut ordonner mon arrestation sur ordre de Macky Sall. Donc, prépare le sac de la prison. Voilà ma vie !», a ajouté le confrère.
Pour rappel, Pape Ale Niang est poursuivi pour diffusion d’informations de nature à nuire à la défense nationale, entre autres délits. Le 10 janvier dernier, Il avait bénéficié d’une liberté provisoire. Quant à la Coordination des associations de presse (CAP), elle exige l’annulation des charges « fantaisistes et politiques », qui pèsent contre le directeur du site Dakarmatin.
Dans sa dernière publication, il a écrit : « j’étais parti me ressourcer auprès d’un vieux père, un sage, mon confident. Depuis ma sortie de prison, nous ne nous sommes pas vus. Mon état de santé reste précaire et lui, son âge ne lui permet plus aucun déplacement. Au cours de nos échanges il m’a confié ceci : «Sama dom kasso moy bamel lou nit si kaw souf. Kou la fa dougueul rek yéném moy gua faatou. Kon khamal ni batay dji paréguoun si séni pexé. Yalla na la yalla sam’’ (Mon fils, la prison est le tombeau des vivants. Celui qui est capable de te jeter en prison, a pour intention de te tuer. Donc fais attention et sache qu’ils n’en ont pas fini avec toi, Ndlr)».
Pape Alé Niang alerte ainsi ses proches et l’opinion publique, qu’il vit un traumatisme profond et soutient qu’il pourrait être «kidnappé» de nouveau par le juge du deuxième cabinet, sur instruction du président de la République Macky Sall. Il dit voir sa liberté menacée.
«À chaque fois que je suis dans ma voiture ou dans la rue, je vis la hantise de me faire enlever par la police, à n’importe quel moment. Le soir, j’ai l’habitude de dire à mon épouse que, tant qu’il n’est pas 21h, le juge du deuxième cabinet Mamadou Seck peut ordonner mon arrestation sur ordre de Macky Sall. Donc, prépare le sac de la prison. Voilà ma vie !», a ajouté le confrère.
Pour rappel, Pape Ale Niang est poursuivi pour diffusion d’informations de nature à nuire à la défense nationale, entre autres délits. Le 10 janvier dernier, Il avait bénéficié d’une liberté provisoire. Quant à la Coordination des associations de presse (CAP), elle exige l’annulation des charges « fantaisistes et politiques », qui pèsent contre le directeur du site Dakarmatin.