Ce jour-là, raconte le journal « Les Echos » citant les informations de la police, un homme dont l’identité n’a pas été révélé, s’est pointé à Saf Bar. Il s’assoit seul sur une table et se met à siroter un verre de rafraîchissement. La dame Khadidiatou S. s’invite à la table et lui propose ses services. Ainsi, ils engagent une discussion sur le prix de la passe.
L’accord conclu, ils sortent du bar et hèlent un taxi. Sur ces entrefaites, la nommée Ndèye D. surgit de nulle part s’invite dans le taxi. Aussi elle fait semblant d’être le client et demande au chauffeur de taxi de démarrer. Sa collègue Khadidiatou intervient et tente de lui faire entendre raison. Elle affirme avoir déjà conclu un accord avec le client et demande gentiment à sa collègue de descendre du taxi. En vain. Elle se plie au refus de son amie et se retire sur le bas-côté de la chaussée.
Ndèye vint la trouver et l’abreuva d’injures. Sans piper mot, Khadidiatou convainc son homme à prendre un autre taxi. Mais c’était sans compter avec sa collègue qui les prend en filature jusqu’au parvis d’une auberge.
L’insulte à la bouche, elle se met à taxer sa collègue de voleuse de client…puis elle se jette sur elle. Elle la bat, lui occasionnant de graves blessures.
Séparée de son antagoniste, Khadidiatou se rend aussitôt dans une structure sanitaire où elle se procure un certificat médical. Le lendemain, elle se rend au commissariat de police, avec un document médical attestant ses blessures corporelles et dépose une plainte pour coups et blessures contre sa collègue Ndèye D. Les limiers convoquent la mise en cause et l’interrogent. Cette dernière verse dans des dénégations sans convaincre et charge son accusatrice. Elle soutient mordicus avoir été provoquée par la plaignante qui, selon elle, aurait profité de ses moment d’inattention pour lui chiper son client avec qui elle aurait conclu en premier un accord sur le prix d’une passe dans une chambre d’hôtel payée aux frais du bonhomme. Elle a été malgré tout déférée au parquet pour coups et blessures volontaires.
L’accord conclu, ils sortent du bar et hèlent un taxi. Sur ces entrefaites, la nommée Ndèye D. surgit de nulle part s’invite dans le taxi. Aussi elle fait semblant d’être le client et demande au chauffeur de taxi de démarrer. Sa collègue Khadidiatou intervient et tente de lui faire entendre raison. Elle affirme avoir déjà conclu un accord avec le client et demande gentiment à sa collègue de descendre du taxi. En vain. Elle se plie au refus de son amie et se retire sur le bas-côté de la chaussée.
Ndèye vint la trouver et l’abreuva d’injures. Sans piper mot, Khadidiatou convainc son homme à prendre un autre taxi. Mais c’était sans compter avec sa collègue qui les prend en filature jusqu’au parvis d’une auberge.
L’insulte à la bouche, elle se met à taxer sa collègue de voleuse de client…puis elle se jette sur elle. Elle la bat, lui occasionnant de graves blessures.
Séparée de son antagoniste, Khadidiatou se rend aussitôt dans une structure sanitaire où elle se procure un certificat médical. Le lendemain, elle se rend au commissariat de police, avec un document médical attestant ses blessures corporelles et dépose une plainte pour coups et blessures contre sa collègue Ndèye D. Les limiers convoquent la mise en cause et l’interrogent. Cette dernière verse dans des dénégations sans convaincre et charge son accusatrice. Elle soutient mordicus avoir été provoquée par la plaignante qui, selon elle, aurait profité de ses moment d’inattention pour lui chiper son client avec qui elle aurait conclu en premier un accord sur le prix d’une passe dans une chambre d’hôtel payée aux frais du bonhomme. Elle a été malgré tout déférée au parquet pour coups et blessures volontaires.