Le collectif des éleveurs des grands ruminants de Diamaguène-Sicap Mbao, a montré son ras-le-bol hier, lors d’un point de presse. Ces éleveurs disent être fatigués, de l’exploitation sur tous les plans, car il ne se retrouve plus dans leur secteur à cause du sous-préfet. « Le rang ne marche plus dans ce Daaral, parce que c’est un aveugle qui le dirige. On dénonce que notre marché est mal géré par le comité directeur avec la couverture du sous-préfet », a dénoncé Samba Dia, un des membres du bureau des jeunes éleveurs. Selon le collectif d’éleveurs, le marché génère des millions par jour mais, ils ne savent pas où passe cet argent. Et qui fait encore plus mal, est que le comité directeur n’a aucun bétail au niveau du Foirail, nous dit "Rewmi".
«Quand on dénonce cela, ce sont des menaces de mort ou d’emprisonnement que l’on reçoit de la part du sous-préfet. Les 65 millions de recettes qu’ils disent récolter, n’est rien par rapport avec ce qui sort d’ici. Le Foirail fait générer des centaines de millions .»
Samba Dia déballe sur les recettes du Daaral, qui selon eux, est très loin de ce qui est révélé, d’où leur mécontentement. « Les 58 millions qu’ils disent avoir dépensé, ne l’ont pas été. Où est ce qu’ils ont investi ça dans le Foirail, il n’y a que 3 toilettes et c’est privé ? Donc, où est ce qu’ils ont investi ces millions ? Ils nous parlent de modernisation du Daral, on en a pas besoin», refusent-ils, catégoriques, quant au projet de modernisation du Daaral.
Les éleveurs refusent ce projet du fait de la proximité du Daaral avec la route nationale, qui enregistre beaucoup d’accidents causés par les vaches. A les entendre, s’ils modernisent ce Daaral, ça ne va pas continuer, car ils vont finir par quitter. « Ce n’est plus le milieu adéquat. Nous, on aurait préféré que ce Daaral soit déplacé dans un autre milieu beaucoup plus propice, mais à zéro, mettre à côté de la route nationale, toujours il y a des accidents causés par les bœufs, donc moderniser ici, c’est comme mettre du poisson dans l’aliment », argumente Samba Dia, membre du groupe des jeunes éleveurs de Foirail.
«Quand on dénonce cela, ce sont des menaces de mort ou d’emprisonnement que l’on reçoit de la part du sous-préfet. Les 65 millions de recettes qu’ils disent récolter, n’est rien par rapport avec ce qui sort d’ici. Le Foirail fait générer des centaines de millions .»
Samba Dia déballe sur les recettes du Daaral, qui selon eux, est très loin de ce qui est révélé, d’où leur mécontentement. « Les 58 millions qu’ils disent avoir dépensé, ne l’ont pas été. Où est ce qu’ils ont investi ça dans le Foirail, il n’y a que 3 toilettes et c’est privé ? Donc, où est ce qu’ils ont investi ces millions ? Ils nous parlent de modernisation du Daral, on en a pas besoin», refusent-ils, catégoriques, quant au projet de modernisation du Daaral.
Les éleveurs refusent ce projet du fait de la proximité du Daaral avec la route nationale, qui enregistre beaucoup d’accidents causés par les vaches. A les entendre, s’ils modernisent ce Daaral, ça ne va pas continuer, car ils vont finir par quitter. « Ce n’est plus le milieu adéquat. Nous, on aurait préféré que ce Daaral soit déplacé dans un autre milieu beaucoup plus propice, mais à zéro, mettre à côté de la route nationale, toujours il y a des accidents causés par les bœufs, donc moderniser ici, c’est comme mettre du poisson dans l’aliment », argumente Samba Dia, membre du groupe des jeunes éleveurs de Foirail.