Le nouveau bâtiment compte 9 salles de cours, dont 6 salles de 47 places, deux de 71 places et une de 99 places, pour un total de 523 places. La nouvelle infrastructure a été réceptionnée en marge de la cérémonie de sortie de la 40e promotion de l’ENOA, baptisée capitaine Ibrahima Diédhiou, en présence de hauts responsables militaires.
Cet édifice vient s’ajouter aux huit salles de cours existantes à l’ENOA qui dispose également d’un amphithéâtre de 400 places, a expliqué le commandant de l’école, le colonel Yahya Diop. En plus de ce bâtiment pédagogique, Me Sidiki Kaba a réceptionné un simulateur de tirs, outil visant à "optimiser la formation technique et tactique des élèves officiers au tir, avec des possibilités de variation de terrain de cible de condition météo et de niveau de difficulté", selon le colonel Yahya Diop.
Il a par ailleurs annoncé "la réception imminente" d’un complexe sportif, la réfection de la piste d’audace, la construction amorcée d’un nouveau mess et d’un dortoir supplémentaire. Ces efforts participent à "consolider" la position de "référence" de l’ENOA comme école de formation initiale d’officiers dans la sous-région, a dit le responsable de la structure. "L’ENOA a bâti son label sur son authenticité profondément ancrée dans les valeurs traditionnelles africaines", a dit son commandant.
Me Sidiki Kaba a salué "les efforts importants" du haut commandement dans cette école, comme l’illustrent selon lui "les gros investissements" réalisés à l’ENOA ces dernières années.
Selon lui, le président de la République, chef suprême des Armées, accorde "une très grande priorité" à la formation militaire et "ne ménage aucun effort pour doter le Sénégal de structures de formation, à la hauteur du rayonnement de nos forces armées".
Saluant la poursuite de la montée en puissance de l’ENOA, il a indiqué qu’elle s’inscrit dans un projet global d’harmonisation et de centralisation de la formation des officiers sénégalais. "Au-delà des forces armées sénégalaises, l’ENOA s’est imposée comme un creuset de la formation initiale des officiers de plusieurs pays frères", a ajouté Me Sidiki Kaba.
Créée en 1981, l’Ecole nationale des officiers d’active a accueilli deux ans après ses premiers stagiaires venus de pays africains. Depuis lors, elle a formé 1.097 officiers, dont 372 en provenance de 17 de ces pays.
Cet édifice vient s’ajouter aux huit salles de cours existantes à l’ENOA qui dispose également d’un amphithéâtre de 400 places, a expliqué le commandant de l’école, le colonel Yahya Diop. En plus de ce bâtiment pédagogique, Me Sidiki Kaba a réceptionné un simulateur de tirs, outil visant à "optimiser la formation technique et tactique des élèves officiers au tir, avec des possibilités de variation de terrain de cible de condition météo et de niveau de difficulté", selon le colonel Yahya Diop.
Il a par ailleurs annoncé "la réception imminente" d’un complexe sportif, la réfection de la piste d’audace, la construction amorcée d’un nouveau mess et d’un dortoir supplémentaire. Ces efforts participent à "consolider" la position de "référence" de l’ENOA comme école de formation initiale d’officiers dans la sous-région, a dit le responsable de la structure. "L’ENOA a bâti son label sur son authenticité profondément ancrée dans les valeurs traditionnelles africaines", a dit son commandant.
Me Sidiki Kaba a salué "les efforts importants" du haut commandement dans cette école, comme l’illustrent selon lui "les gros investissements" réalisés à l’ENOA ces dernières années.
Selon lui, le président de la République, chef suprême des Armées, accorde "une très grande priorité" à la formation militaire et "ne ménage aucun effort pour doter le Sénégal de structures de formation, à la hauteur du rayonnement de nos forces armées".
Saluant la poursuite de la montée en puissance de l’ENOA, il a indiqué qu’elle s’inscrit dans un projet global d’harmonisation et de centralisation de la formation des officiers sénégalais. "Au-delà des forces armées sénégalaises, l’ENOA s’est imposée comme un creuset de la formation initiale des officiers de plusieurs pays frères", a ajouté Me Sidiki Kaba.
Créée en 1981, l’Ecole nationale des officiers d’active a accueilli deux ans après ses premiers stagiaires venus de pays africains. Depuis lors, elle a formé 1.097 officiers, dont 372 en provenance de 17 de ces pays.