La Société des pétroles du Sénégal, PETROSEN Trading & Services annonce le bouclage du projet de mise en service future d’une usine de production d’engrais, d’une capacité de 100 000 tonnes par an.
La mise en service de cette unité de production d’engrais, “pourrait intervenir en 2029”, précisent la Société des pétroles du Sénégal et l’ambassade du Royaume-Uni au Sénégal, dans communiqué conjoint rendu public lundi.
Selon le communiqué, cette usine prévoit de produire “environ 100 000 tonnes par an” d’urée, “un engrais azoté entièrement importé au Sénégal”.
Le projet d’installation de cette usine, dénommé Senegal Fertilizer Company (SEFCO), “vise à valoriser localement le gaz découvert au large du Sénégal, afin d’atteindre l’autosuffisance en urée et de mieux valoriser son phosphate, à travers notamment, la formulation d’engrais de mélange NPK”, lit-on dans le texte.
PETROSEN avait organisé, lundi, une session de restitution portant sur deux études relatives au projet de construction de l’usine, réalisées avec le soutien du consortium Manufacturing Africa, un programme du gouvernement du Royaume-Uni.
Il s’agit, dans le détail, d’une étude de marché permettant de confirmer la compétitivité de la future usine SEFCO par rapport aux autres exportateurs mondiaux d’urée, dans le but d’inverser la balance commerciale du Sénégal, en ce qui concerne le commerce de l’urée et des engrais NPK.
“PETROSEN approvisionnera notamment les marchés de la sous-région ouest africaine (Mali, Burkina, Côte d’Ivoire, Ghana), ceux de l’Europe mais aussi les Etats-Unis et le Brésil, deux des plus gros importateurs d’urée dans le monde”, signale le communiqué.
La seconde étude, portant sur le potentiel de captage du carbone de cette usine, “a permis d’évaluer que près de 17 millions de tonnes de CO2 pourraient être captées au cours des 30 ans d’exploitation de l’usine”.
“Le CO2 capté grâce à des technologies de rang mondial, pourrait être réutilisé dans la conservation alimentaire, l’industrie agroalimentaire (froid, brasserie) ou encore la construction”, indique la Société des pétroles du Sénégal.
La mise en service de cette unité de production d’engrais, “pourrait intervenir en 2029”, précisent la Société des pétroles du Sénégal et l’ambassade du Royaume-Uni au Sénégal, dans communiqué conjoint rendu public lundi.
Selon le communiqué, cette usine prévoit de produire “environ 100 000 tonnes par an” d’urée, “un engrais azoté entièrement importé au Sénégal”.
Le projet d’installation de cette usine, dénommé Senegal Fertilizer Company (SEFCO), “vise à valoriser localement le gaz découvert au large du Sénégal, afin d’atteindre l’autosuffisance en urée et de mieux valoriser son phosphate, à travers notamment, la formulation d’engrais de mélange NPK”, lit-on dans le texte.
PETROSEN avait organisé, lundi, une session de restitution portant sur deux études relatives au projet de construction de l’usine, réalisées avec le soutien du consortium Manufacturing Africa, un programme du gouvernement du Royaume-Uni.
Il s’agit, dans le détail, d’une étude de marché permettant de confirmer la compétitivité de la future usine SEFCO par rapport aux autres exportateurs mondiaux d’urée, dans le but d’inverser la balance commerciale du Sénégal, en ce qui concerne le commerce de l’urée et des engrais NPK.
“PETROSEN approvisionnera notamment les marchés de la sous-région ouest africaine (Mali, Burkina, Côte d’Ivoire, Ghana), ceux de l’Europe mais aussi les Etats-Unis et le Brésil, deux des plus gros importateurs d’urée dans le monde”, signale le communiqué.
La seconde étude, portant sur le potentiel de captage du carbone de cette usine, “a permis d’évaluer que près de 17 millions de tonnes de CO2 pourraient être captées au cours des 30 ans d’exploitation de l’usine”.
“Le CO2 capté grâce à des technologies de rang mondial, pourrait être réutilisé dans la conservation alimentaire, l’industrie agroalimentaire (froid, brasserie) ou encore la construction”, indique la Société des pétroles du Sénégal.