« Nous avons commencé notre campagne de recrutement. Nous avons reçu pas moins de 4 000 candidatures. Nous recrutons actuellement 50 ingénieurs au Sénégal et en Mauritanie. 25 dans chaque pays dont la formation va bientôt débuter. D’autres promotions suivront. Nos techniciens seront tout d’abord formés à l’anglais qui est la langue de notre industrie. Toutes nos procédures techniques sont dans cette langue, c’est un préalable indispensable », a dit le vice-président de BP Exploration Jonathan Evans.
Concernant l’exécution du projet, il confie : « Nous sommes dans les temps ! l’infrastructure est déjà en cours de construction. Au Sénégal, nous avons sécurisé un terrain au sein du port de Dakar pour y assembler les caissons du futur port flottant (où s’arrimeront les navires venus charger le Gaz naturel liquéfié (Gnl). Et en Mauritanie, nous exploitons une carrière destinée à fournir les roches pour le brise-lames protégeant ce même port flottant. Quant à la barge de production de Gnl, elle est en cours de fabrication en Asie ».
Source dakarctu
Concernant l’exécution du projet, il confie : « Nous sommes dans les temps ! l’infrastructure est déjà en cours de construction. Au Sénégal, nous avons sécurisé un terrain au sein du port de Dakar pour y assembler les caissons du futur port flottant (où s’arrimeront les navires venus charger le Gaz naturel liquéfié (Gnl). Et en Mauritanie, nous exploitons une carrière destinée à fournir les roches pour le brise-lames protégeant ce même port flottant. Quant à la barge de production de Gnl, elle est en cours de fabrication en Asie ».
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