Cette découverte a été réalisée lors d’un exercice de forage, démarré le 23 septembre, sur le champ Owowo-3, situé à plusieurs miles de la cote de l’état de Bayelsa dans le sud du pays, a annoncé jeudi la major pétrolière américaine.
« Les résultats obtenus après cette opération nous encouragent et nous travailleront, tant avec nos partenaires qu’avec le gouvernement, pour ce qui concerne les futurs plans de développement », a précisé Stephen Greenlee, le président d’ExxonMobil, dans le communiqué.
La Nigeria Petroleum Development Company participe à hauteur de 10 %
Le forage du puits – effectué jusqu’à 3 173 mètres de profondeur – a été opéré par Esso Exploitation and Production Nigeria ; la filiale nigériane de Exxon Mobil. Cette dernière contrôle 27% des participations sur les licences OPL 223 and OML 139 qui englobent le puits découvert, et détient le statut d’opérateur.
La compagnie texane est aussi associée à Chevron Nigeria qui détient 27%, Total E & P Nigeria 18%, le groupe canadien Nexen Petroleum 18%. Enfin, la compagnie nationale de pétrole nigériane, la Nigeria Petroleum Development Company (NPDC) participe à hauteur de 10%.
ExxonMobil a toutefois précisé que la mise en exploitation dépendra de plusieurs facteurs, dont l’évolution des cours mondiaux du pétrole en déclin depuis mi-2014.
Réduction des réserves nord-américaines d’Exxon Mobil
L’annonce de cette découverte au large du Nigeria intervient alors que la compagnie s’apprête à évaluer certains de ses gisements pétroliers et gaziers en Amérique du Nord, pour déterminer s’ils ont perdu de la valeur suite à la chute des prix du pétrole.
Le groupe pourrait réduire ses réserves de 3,6 milliards de barils sur le site de Kearl – dans les sables bitumineux du Canada – et d’un milliard supplémentaire sur les autres sites nord-américains, soit 19% de ses réserves totales, un record depuis la fusion entre Exxon et Mobil en 1999.
Par Jeune Afrique
« Les résultats obtenus après cette opération nous encouragent et nous travailleront, tant avec nos partenaires qu’avec le gouvernement, pour ce qui concerne les futurs plans de développement », a précisé Stephen Greenlee, le président d’ExxonMobil, dans le communiqué.
La Nigeria Petroleum Development Company participe à hauteur de 10 %
Le forage du puits – effectué jusqu’à 3 173 mètres de profondeur – a été opéré par Esso Exploitation and Production Nigeria ; la filiale nigériane de Exxon Mobil. Cette dernière contrôle 27% des participations sur les licences OPL 223 and OML 139 qui englobent le puits découvert, et détient le statut d’opérateur.
La compagnie texane est aussi associée à Chevron Nigeria qui détient 27%, Total E & P Nigeria 18%, le groupe canadien Nexen Petroleum 18%. Enfin, la compagnie nationale de pétrole nigériane, la Nigeria Petroleum Development Company (NPDC) participe à hauteur de 10%.
ExxonMobil a toutefois précisé que la mise en exploitation dépendra de plusieurs facteurs, dont l’évolution des cours mondiaux du pétrole en déclin depuis mi-2014.
Réduction des réserves nord-américaines d’Exxon Mobil
L’annonce de cette découverte au large du Nigeria intervient alors que la compagnie s’apprête à évaluer certains de ses gisements pétroliers et gaziers en Amérique du Nord, pour déterminer s’ils ont perdu de la valeur suite à la chute des prix du pétrole.
Le groupe pourrait réduire ses réserves de 3,6 milliards de barils sur le site de Kearl – dans les sables bitumineux du Canada – et d’un milliard supplémentaire sur les autres sites nord-américains, soit 19% de ses réserves totales, un record depuis la fusion entre Exxon et Mobil en 1999.
Par Jeune Afrique