« Le droit de grève est utilisé abusivement et il est urgent de le réglementer. C’est pourquoi la CPE-Taxawu Sénégal propose la restriction du droit de grève dans certains domaines de la fonction publique pour que les grévistes restent à leurs postes respectifs en cas de grève et ne perçoivent pas les salaires des heures faisant l’objet de grève », ont déclaré Me Ousmane Sèye et ses alliés dans le communiqué sanctionnant leur rencontre d’hier. Pour eux, en plus de restreindre les conditions de départ en grève dans certains secteurs, l’Etat doit faire en sorte qu’il y ait toujours un dispositif pour accompagner « les non-grévistes », qui, disent-ils, « doivent être protégés pour faire leur travail ».
Convaincus que le gouvernement doit mettre de l’ordre dans le secteur de l’éducation, les responsables de la coalition pour l’émergence, proposent également qu’il soit tout bonnement interdit aux aux enseignants du public de servir dans le privé
« L’Etat doit prendre d’urgence les dispositions législatives et réglementaires pour interdire aux enseignants de la fonction publique de dispenser des cours dans les écoles et universités privées pour favoriser le recrutement des enseignants dans le privé », proposent-ils.
Par ailleurs, à propos du dialogue politique à l’ordre du jour, Me Sèye et Cie pensent que « pour la mise en œuvre des réformes institutionnelles adoptées par voie référendaire, il est nécessaire d’instaurer un dialogue entre le pouvoir et l’opposition ».
Toutefois, ils rappellent que « dans un état démocratique, le pouvoir gouverne et l’opposition s’oppose », même s’il faut reconnaître que « le dialogue et la concertation constituent des principes permanents de bonne gouvernance ».
Jotay.net
Convaincus que le gouvernement doit mettre de l’ordre dans le secteur de l’éducation, les responsables de la coalition pour l’émergence, proposent également qu’il soit tout bonnement interdit aux aux enseignants du public de servir dans le privé
« L’Etat doit prendre d’urgence les dispositions législatives et réglementaires pour interdire aux enseignants de la fonction publique de dispenser des cours dans les écoles et universités privées pour favoriser le recrutement des enseignants dans le privé », proposent-ils.
Par ailleurs, à propos du dialogue politique à l’ordre du jour, Me Sèye et Cie pensent que « pour la mise en œuvre des réformes institutionnelles adoptées par voie référendaire, il est nécessaire d’instaurer un dialogue entre le pouvoir et l’opposition ».
Toutefois, ils rappellent que « dans un état démocratique, le pouvoir gouverne et l’opposition s’oppose », même s’il faut reconnaître que « le dialogue et la concertation constituent des principes permanents de bonne gouvernance ».
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