Le Sénégal fait face à des risques énormes de pénurie de produits pétroliers, ce qui pourrait entraîner des délestages, faute de jus pour la Senelec. Depuis deux jours, la société d’électricité fait face à une rupture de stocks de fuel.
Selon le secrétaire général de la Confédération nationale des travailleurs du Sénégal/Forces du changement (Cnts/Fc), qui a tenu à alerter l’opinion, le bateau qui devait apporter le fuel est arrivé à Dakar mais malheureusement, les importateurs avaient du mal à payer Cheikh Diop soutient que c’est de justesse que « Total » est parvenu à décharger la cargaison le fuel qu’elle avait commandée. Au même moment, confie le syndicaliste, la cargaison dédiée à la Sar est toujours au large des côtes sénégalaises, faute de lettre de crédit.
Revenant sur l’origine de cette situation déplorable, Cheikh Diop renseigne que le Fonds de soutien à l’énergie (FSE) doit énormément d’argent à la Sar et aux importateurs tels que Total et autres, au point que ces derniers ne peuvent plus importer.
Conséquence, selon le syndicaliste, la Senelec n’avait qu’un stock de deux jours de consommation de fuel avant que Total ne sauve la face. Sinon dit-il, on aurait assisté à des coupures d’électricités dans le pays en pleine période de Magal et de canicule. Il renseigne par ailleurs que cette situation est en train d’impacter les négociations du secteur du pétrole.
Par ailleurs, le secrétaire général de la CNTS/FC estime que la défaillance ne se situe nullement au niveau de la Senelec et précise que ce sont les produits pétroliers qui n’arrivent pas à bon port. La responsabilité se situe, selon lui, au niveau du FSE géré par le ministère de l’Economie et des Finances.
L'As
Selon le secrétaire général de la Confédération nationale des travailleurs du Sénégal/Forces du changement (Cnts/Fc), qui a tenu à alerter l’opinion, le bateau qui devait apporter le fuel est arrivé à Dakar mais malheureusement, les importateurs avaient du mal à payer Cheikh Diop soutient que c’est de justesse que « Total » est parvenu à décharger la cargaison le fuel qu’elle avait commandée. Au même moment, confie le syndicaliste, la cargaison dédiée à la Sar est toujours au large des côtes sénégalaises, faute de lettre de crédit.
Revenant sur l’origine de cette situation déplorable, Cheikh Diop renseigne que le Fonds de soutien à l’énergie (FSE) doit énormément d’argent à la Sar et aux importateurs tels que Total et autres, au point que ces derniers ne peuvent plus importer.
Conséquence, selon le syndicaliste, la Senelec n’avait qu’un stock de deux jours de consommation de fuel avant que Total ne sauve la face. Sinon dit-il, on aurait assisté à des coupures d’électricités dans le pays en pleine période de Magal et de canicule. Il renseigne par ailleurs que cette situation est en train d’impacter les négociations du secteur du pétrole.
Par ailleurs, le secrétaire général de la CNTS/FC estime que la défaillance ne se situe nullement au niveau de la Senelec et précise que ce sont les produits pétroliers qui n’arrivent pas à bon port. La responsabilité se situe, selon lui, au niveau du FSE géré par le ministère de l’Economie et des Finances.
L'As