Ne se doutant de rien, la gamine répond à son appel. Mais à peine s’est-elle introduite dans la chambre que son bourreau a automatiquement fermé la porte à clé avant de se tourner vers elle.
« Il m’a jetée sur son lit. Prise de peur, j’ai tenté de crier pour alerter les voisins, mais il a posé ses deux mains sur ma bouche m’empêchant de pousser le moindre cri », raconte la victime.
Le sieur Massar l’aurait ainsi déshabillée avant de coucher sur elle en la pénétrant. Son désir assouvi, le mis en cause l’aurait menacée de la tuer si elle s’en ouvrait à sa mère.
« Le lendemain, j’ai eu des courbatures et j’avais du mal à marcher. Je n’osais pas en parler à ma mère de peur que mon violeur exécute ses menaces. Vu mon changement de comportement, ma mère s’est rendue compte de mon état et m’a harcelée de questions avant que je ne finisse par lui dire la vérité », a raconté la fillette aux enquêteurs.
Face à sa victime, le mis en cause a nié en bloc les faits qui lui sont reprochés. Pour sa défense, il soutient ne pas dormir dans la chambre où il ne fait que garder ses affaires, préférant vivre dans son atelier.
« J’ai loué une chambre dans la maison où vivent D. Faye et sa mère, mais c’est une chambre où je dépose uniquement mes bagages. La nuit, je dors dans mon atelier. Mes parents ont eu peur lorsqu’ils ont entendu que j’avais reçu une convocation de la police. C’est la raison pour laquelle ils ont quitté Kaolack pour Dakar. Et pour arranger ce différend avec la famille de la victime, ils m’ont demandé de présenter mes excuses pour qu’elle retire sa plainte » a expliqué le mis en cause tout en niant avoir violé la petite. Malgré son système de défense, il a été déféré au parquet.
Le Temoin
« Il m’a jetée sur son lit. Prise de peur, j’ai tenté de crier pour alerter les voisins, mais il a posé ses deux mains sur ma bouche m’empêchant de pousser le moindre cri », raconte la victime.
Le sieur Massar l’aurait ainsi déshabillée avant de coucher sur elle en la pénétrant. Son désir assouvi, le mis en cause l’aurait menacée de la tuer si elle s’en ouvrait à sa mère.
« Le lendemain, j’ai eu des courbatures et j’avais du mal à marcher. Je n’osais pas en parler à ma mère de peur que mon violeur exécute ses menaces. Vu mon changement de comportement, ma mère s’est rendue compte de mon état et m’a harcelée de questions avant que je ne finisse par lui dire la vérité », a raconté la fillette aux enquêteurs.
Face à sa victime, le mis en cause a nié en bloc les faits qui lui sont reprochés. Pour sa défense, il soutient ne pas dormir dans la chambre où il ne fait que garder ses affaires, préférant vivre dans son atelier.
« J’ai loué une chambre dans la maison où vivent D. Faye et sa mère, mais c’est une chambre où je dépose uniquement mes bagages. La nuit, je dors dans mon atelier. Mes parents ont eu peur lorsqu’ils ont entendu que j’avais reçu une convocation de la police. C’est la raison pour laquelle ils ont quitté Kaolack pour Dakar. Et pour arranger ce différend avec la famille de la victime, ils m’ont demandé de présenter mes excuses pour qu’elle retire sa plainte » a expliqué le mis en cause tout en niant avoir violé la petite. Malgré son système de défense, il a été déféré au parquet.
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