Le musicien, F. Dia, joueur de « bongo » de son état, a profité de la nuit pour tenter de satisfaire sa libido sur une malade mentale du nom d’A. Nd. aux alentours du lycée d’excellence Limamoulaye de Guédiawaye. Dans la nuit du samedi 7 au dimanche 8 octobre aux environs de 1 heure du matin, le « bonguiste » a été surpris nu comme un ver de terre dans la rue par une patrouille de la police.
Après une prestation d’enfer lors d’un baptême. F. Dia est rentré chez lui avant de ressortir. Arrivant au pied du mur de l’établissement, il aperçoit la fille et tente d’engager une conversation. Conscient de l’état dépressif de la malade mentale, il jette des coups d’œil furtif par-ci par-là, attrape vite la main de l’adolescente et l’entraîne dans un endroit sombre jouxtant les abords immédiats du lycée.
Aussi, se débarrasse-t-il en vitesse de ses habits et tente de violer la petite. Surpris par les phares du véhicule de la police, F. Dia ramasse ses vêtements, se rhabille, mais les flics en civil ne ratent rien de la scène. Ils l’embarquent en même temps que la fille et les conduisent au commissariat de police.
Livré au enquêteurs, la demoiselle enfonce davantage le mis en cause et l’accuse de viols répétés. Elle soutient avoir subi à deux reprises les assauts sexuels du musicien. « Il m’a entrainé de force à deux reprises dans un terrain vague pour me violer. C’est après le deuxième coup que les flics l’ont surpris. Il a proféré des menaces contre moi et juré de tuer si je criais ou racontais ça à quelqu’un », soutient la petite.
Le mis en cause réfute en bloc les allégations de la malade mentale et affirme avoir juste voulu l’accompagné sur demande expresse et pressante de la mineure. « J’ai accepté volontiers de l’accompagner mais, arrivé dans un coin, je me suis arrêté pour uriner. A peine la braquette de ma ceinture défaite, j’ai aperçu le véhicule de la police. J’ai pris la fuite sans chercher à comprendre car je n’avais pas ma carte d’identité avec moi », se défend F. Dia.
Né en 1989, F. Dia a été déféré au parquet avant-hier par la police de Guédiawaye, puis placé sous mandat de dépôt pour tentative de viol d’une mineure.
Grand-Place.
Après une prestation d’enfer lors d’un baptême. F. Dia est rentré chez lui avant de ressortir. Arrivant au pied du mur de l’établissement, il aperçoit la fille et tente d’engager une conversation. Conscient de l’état dépressif de la malade mentale, il jette des coups d’œil furtif par-ci par-là, attrape vite la main de l’adolescente et l’entraîne dans un endroit sombre jouxtant les abords immédiats du lycée.
Aussi, se débarrasse-t-il en vitesse de ses habits et tente de violer la petite. Surpris par les phares du véhicule de la police, F. Dia ramasse ses vêtements, se rhabille, mais les flics en civil ne ratent rien de la scène. Ils l’embarquent en même temps que la fille et les conduisent au commissariat de police.
Livré au enquêteurs, la demoiselle enfonce davantage le mis en cause et l’accuse de viols répétés. Elle soutient avoir subi à deux reprises les assauts sexuels du musicien. « Il m’a entrainé de force à deux reprises dans un terrain vague pour me violer. C’est après le deuxième coup que les flics l’ont surpris. Il a proféré des menaces contre moi et juré de tuer si je criais ou racontais ça à quelqu’un », soutient la petite.
Le mis en cause réfute en bloc les allégations de la malade mentale et affirme avoir juste voulu l’accompagné sur demande expresse et pressante de la mineure. « J’ai accepté volontiers de l’accompagner mais, arrivé dans un coin, je me suis arrêté pour uriner. A peine la braquette de ma ceinture défaite, j’ai aperçu le véhicule de la police. J’ai pris la fuite sans chercher à comprendre car je n’avais pas ma carte d’identité avec moi », se défend F. Dia.
Né en 1989, F. Dia a été déféré au parquet avant-hier par la police de Guédiawaye, puis placé sous mandat de dépôt pour tentative de viol d’une mineure.
Grand-Place.