Des membres du Réseau des parlementaires pour l’environnement au Sénégal (REPES), des élus locaux pour la conservation du littoral, de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) et autres acteurs de la pêche ont appelé à promouvoir davantage une "gouvernance participative" des pêcheries et une "harmonisation" des politiques et législations.
Ils ont émis ce souhait à la clôture, à Saly-Portudal, de l’atelier d’information et de sensibilisation sur la transparence dans le secteur des pêches au Sénégal.
Cet atelier de deux jours (20-21 décembre), qui entre dans le cadre du Programme d’appui au réseau régional des parlementaires et élus locaux pour la conservation du littoral ouest-africain (PREPARE II) a été sanctionné par une résolution.
Dans celle-ci, les participants ont souhaité la mise en place d’une plateforme d’alerte et de veille sur la transparence dans le secteur de la pêche au Sénégal.
Ils ont aussi appelé à l’application des directives volontaires de la FAO pour une pêche artisanale responsable et durable et l’éradication de la pauvreté, qui érigent la transparence comme principe-directeur.
Les rédacteurs de la résolution lue par le député Aliou Kébé, premier vice-président du REPES ont rappelé les dispositions de l’article 25-1 de la Constitution sénégalaise sur la transparence dans l’exploitation des ressources naturelles.
Saluant l’engagement du chef de l’Etat à adhérer à l’Initiative pour la transparence dans la pêche (FiTI), ils ont demandé à mettre en place un groupe multipartite national souhaité par Macky Sall lors de la première conférence internationale de lancement de
"Nous reconnaissons le potentiel économique élevé des ressources halieutiques et les menaces persistantes qui pèsent sur elles au Sénégal", a dit le député.
Aliou Kébé a en outre appelé l’Etat à diligenter, si possible, le processus de mise en place d’un cadre et des mécanismes formels, pour renforcer la transparence, pour l’accès à l’information relative au stock halieutique, aux capacités de pêche, aux accords de pêche et aux infrastructures de valorisation du produit.
Il a également plaidé pour l’amélioration du cadre règlementaire afin de renforcer la participation des acteurs de la pêche, de recourir davantage à l’expertise et aux compétences nationales et régionales pour le choix des membres de l’équipe de négociation sur les Accords de pêche.
APS
Ils ont émis ce souhait à la clôture, à Saly-Portudal, de l’atelier d’information et de sensibilisation sur la transparence dans le secteur des pêches au Sénégal.
Cet atelier de deux jours (20-21 décembre), qui entre dans le cadre du Programme d’appui au réseau régional des parlementaires et élus locaux pour la conservation du littoral ouest-africain (PREPARE II) a été sanctionné par une résolution.
Dans celle-ci, les participants ont souhaité la mise en place d’une plateforme d’alerte et de veille sur la transparence dans le secteur de la pêche au Sénégal.
Ils ont aussi appelé à l’application des directives volontaires de la FAO pour une pêche artisanale responsable et durable et l’éradication de la pauvreté, qui érigent la transparence comme principe-directeur.
Les rédacteurs de la résolution lue par le député Aliou Kébé, premier vice-président du REPES ont rappelé les dispositions de l’article 25-1 de la Constitution sénégalaise sur la transparence dans l’exploitation des ressources naturelles.
Saluant l’engagement du chef de l’Etat à adhérer à l’Initiative pour la transparence dans la pêche (FiTI), ils ont demandé à mettre en place un groupe multipartite national souhaité par Macky Sall lors de la première conférence internationale de lancement de
"Nous reconnaissons le potentiel économique élevé des ressources halieutiques et les menaces persistantes qui pèsent sur elles au Sénégal", a dit le député.
Aliou Kébé a en outre appelé l’Etat à diligenter, si possible, le processus de mise en place d’un cadre et des mécanismes formels, pour renforcer la transparence, pour l’accès à l’information relative au stock halieutique, aux capacités de pêche, aux accords de pêche et aux infrastructures de valorisation du produit.
Il a également plaidé pour l’amélioration du cadre règlementaire afin de renforcer la participation des acteurs de la pêche, de recourir davantage à l’expertise et aux compétences nationales et régionales pour le choix des membres de l’équipe de négociation sur les Accords de pêche.
APS