En effet, la commune a signé un marché complémentaire avec l’entreprise Borom Daradji, pour un montant de 162,3 millions de francs Cfa, pour cinq mois. Puis, elle a signé un premier avenant de 48,7 millions de francs Cfa pour 3 mois, soit 30% du marché. Elle a donc sollicité de la Direction centrale des marchés publics (Dcmp) l’autorisation de conclure un marché complémentaire. Ce que lui refusera cette dernière.
La Dcmp estime que le montant est égal à deux fois le montant du marché initial, y compris l’avenant numéro 1, dépassant même le seuil requis. Elle a refusé de donner son avis favorable, recommandant à la commune de recourir à un appel d’offres ouvert. Car, selon les textes, le montant cumulé des marchés complémentaires ne doit pas dépasser un tiers du montant du marché principal, avenants compris.
Saisie, l’Armp a souligné que le montant prévisionnel du marché complémentaire, qui est de 435 millions de francs Cfa, est de loin supérieur au montant du marché principal. Ce qui ne cadre pas avec les conditions exigées par l’article 76 du code des marchés publics. Par conséquent, l’Armp a tout bonnement rejeté la demande du maire.
iGFM
La Dcmp estime que le montant est égal à deux fois le montant du marché initial, y compris l’avenant numéro 1, dépassant même le seuil requis. Elle a refusé de donner son avis favorable, recommandant à la commune de recourir à un appel d’offres ouvert. Car, selon les textes, le montant cumulé des marchés complémentaires ne doit pas dépasser un tiers du montant du marché principal, avenants compris.
Saisie, l’Armp a souligné que le montant prévisionnel du marché complémentaire, qui est de 435 millions de francs Cfa, est de loin supérieur au montant du marché principal. Ce qui ne cadre pas avec les conditions exigées par l’article 76 du code des marchés publics. Par conséquent, l’Armp a tout bonnement rejeté la demande du maire.
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