Le patron de la pâtisserie Les Ambassades a comparu, hier, à la barre du Tribunal correctionnel. Jamal Omaïs est poursuivi par son ex-DRH pour coups et blessures volontaires.
Le patron de la pâtisserie Les Ambassades n’était pas seul à la barre puisqu’il a comparu à côté du gardien de la pâtisserie, Moukhtarou Sow, poursuivi pour les mêmes faits. À l’origine des poursuites, Aminatou Sonko, ex-Directrice des ressources humaines de la boîte, dont le contrat a pris fin le 22 septembre dernier, soutient avoir été violentée d’abord par son patron, ensuite par le gardien.
Des violences qui lui ont causé une invalidité de 2 jours. Les faits ont eu lieu le 13 août dernier, relate le quotidien Les Échos dans s a parution du jour.
Selon la plaignante, Jamal Omaïs l’a convoquée ce jour dans son bureau pour lui reprocher sa gestion de l’entreprise, l’accusant de f… le bordel. Après un échange houleux, le patron de la pâtisserie l’a tirée pour la sortir de son bureau.
Et, pour ne pas arranger les choses, il a appelé le vigile Moukhtarou Sow qui l’a prise par le collet avant de la brutaliser pour la mettre dehors, alors qu’elle tentait d’entrer dans son propre bureau.
Le certificat médical atteste de douleurs au niveau de l’épaule ainsi que de son coude.
La victime réclame un million de francs pour la réparation de son préjudice.
L’affaire est mise en délibéré au 10 février prochain.
Le patron de la pâtisserie Les Ambassades n’était pas seul à la barre puisqu’il a comparu à côté du gardien de la pâtisserie, Moukhtarou Sow, poursuivi pour les mêmes faits.
Des violences qui lui ont causé une invalidité de 2 jours. Les faits ont eu lieu le 13 août dernier, relate le quotidien Les Échos dans s a parution du jour.
Selon la plaignante, Jamal Omaïs l’a convoquée ce jour dans son bureau pour lui reprocher sa gestion de l’entreprise, l’accusant de f… le bordel.
Et, pour ne pas arranger les choses, il a appelé le vigile Moukhtarou Sow qui l’a prise par le collet avant de la brutaliser pour la mettre dehors, alors qu’elle tentait d’entrer dans son propre bureau.
Le certificat médical atteste de douleurs au niveau de l’épaule ainsi que de son coude.
La victime réclame un million de francs pour la réparation de son préjudice.
L’affaire est mise en délibéré au 10 février prochain.