À 72 ans, H. Ndao est incarcéré pour avoir exercé des violences sur sa deuxième épouse et son beau-fils au cours d'une querelle. L'histoire se déroule aux Parcelles Assainies. Après une dispute avec sa deuxième épouse, T. Souaré, H. Ndao ne voulait même pas la voir en peinture. Il l'a alors enjoint de quitter le domicile conjugal. Puisqu'elle participe au paiement de la location, madame Ndao lui a opposé un niet catégorique, avant de se retrancher dans sa chambre en fermant la porte à clef.
Mais, souligne Rewmi, il a été rejoint dans la pièce par son conjoint qui est passé par le balcon, après s'être armé d'une machette. C'est ainsi qu'une bagarre a éclaté entre les deux époux, avant que M. Mbaye ne vole au secours de sa mère. Bouillant de rage, son beau-père lui porte un coup de coupe-coupe au bras et casse son portable.
Poursuivi pour coups et blessures volontaires et destruction de bien appartenant à autrui, le polygame a été jugé hier, à l'audience des flagrants délits de Dakar. "M. Mbaye a été le premier à me donner un coup de poing. J'ai riposté en lui assénant un coup de machette au bras. J'ai pas détruit son portable", a argué le septuagénaire qui dit avoir agi sous le coup de la colère. Toutefois, le garagiste et père de trois enfants a contesté avoir levé la main sur sa dulcinée.
Interrogée sur les faits, T. Souaré déclare qu'elle a été répudiée par le prévenu qui lui avait demandé d'appeler ses parents. "Comme mon père est décédé, j'ai contacté mon frère. Aussitôt, il me demande de vider les lieux. Quand je lui ai tenu tête, il m'a frappée avec sa machette", accuse la jeune dame.
Son fils, M. Mbaye, a soutenu que sa maman et son beau-père se battaient devant sa sœur qui est en état de grossesse. "Je craignais le pire. C'est pourquoi je suis intervenu pour les séparer. Mais, le prévenu m'a administré un coup de machette au bras, avant de caillasser mon téléphone", renseigne-t-il.
En guise de réparation, M. Mbaye et sa mère ont réclamé respectivement 600.0000 et 500.000 francs. Le représentant du parquet a requis l'application de la loi. Le conseil de la défense a plaidé non coupable pour la destruction de bien appartenant à autrui et les coups et blessures volontaires à conjoint. Car, dit-il, madame Ndao n'a pas produit un certificat médical attestant les violences contrairement à son fils qui s'est retrouvé avec une incapacité temporaire de travail de 20 jours.
Reconnu coupable de tous les chefs d'accusation, le prévenu a finalement écopé d'une peine d'avertissement de six mois avec sursis. Placé sous mandat de dépôt le 12 mai dernier, il doit verser 600.000 francs à M. Mbaye. La juge a toutefois débouté T. Souaré de sa demande en réparation.
Mais, souligne Rewmi, il a été rejoint dans la pièce par son conjoint qui est passé par le balcon, après s'être armé d'une machette. C'est ainsi qu'une bagarre a éclaté entre les deux époux, avant que M. Mbaye ne vole au secours de sa mère. Bouillant de rage, son beau-père lui porte un coup de coupe-coupe au bras et casse son portable.
Poursuivi pour coups et blessures volontaires et destruction de bien appartenant à autrui, le polygame a été jugé hier, à l'audience des flagrants délits de Dakar. "M. Mbaye a été le premier à me donner un coup de poing. J'ai riposté en lui assénant un coup de machette au bras. J'ai pas détruit son portable", a argué le septuagénaire qui dit avoir agi sous le coup de la colère. Toutefois, le garagiste et père de trois enfants a contesté avoir levé la main sur sa dulcinée.
Interrogée sur les faits, T. Souaré déclare qu'elle a été répudiée par le prévenu qui lui avait demandé d'appeler ses parents. "Comme mon père est décédé, j'ai contacté mon frère. Aussitôt, il me demande de vider les lieux. Quand je lui ai tenu tête, il m'a frappée avec sa machette", accuse la jeune dame.
Son fils, M. Mbaye, a soutenu que sa maman et son beau-père se battaient devant sa sœur qui est en état de grossesse. "Je craignais le pire. C'est pourquoi je suis intervenu pour les séparer. Mais, le prévenu m'a administré un coup de machette au bras, avant de caillasser mon téléphone", renseigne-t-il.
En guise de réparation, M. Mbaye et sa mère ont réclamé respectivement 600.0000 et 500.000 francs. Le représentant du parquet a requis l'application de la loi. Le conseil de la défense a plaidé non coupable pour la destruction de bien appartenant à autrui et les coups et blessures volontaires à conjoint. Car, dit-il, madame Ndao n'a pas produit un certificat médical attestant les violences contrairement à son fils qui s'est retrouvé avec une incapacité temporaire de travail de 20 jours.
Reconnu coupable de tous les chefs d'accusation, le prévenu a finalement écopé d'une peine d'avertissement de six mois avec sursis. Placé sous mandat de dépôt le 12 mai dernier, il doit verser 600.000 francs à M. Mbaye. La juge a toutefois débouté T. Souaré de sa demande en réparation.