Massata Diack livre sa version des faits dans les colonnes du journal. "Je n'ai pas voulu en parler quand cela s'est passé. Il y avait une recommandation du Comité exécutif de l'Iaaf, disant que nous avons une commission d'éthique. Il faut référer tous ces dossiers à la commission d'éthique et s'en tenir à ses investigations, ses conclusions. C'était le 7 décembre 2014. Il était prévu que les conclusions de cette commission se fassent au mois de février 2015. Alors, depuis lors rien ne se passe", affirme-t-il. "Il y a eu beaucoup de fuites. Je suis victime d'une cabale des pays anglo-saxons. Ils voulaient ternir l'image du président (Lamine Diack). Je me suis dit : 'comme c'est une campagne et une cabale, mieux vaut faire le dos rond et regarder d'où ça venait'. Maintenant c'est clair, on sait d'où ça vient. Et, en ce moment, je pense qu'on peut apporter la riposte qu'il faut", soutient-il.
Il a risposté dit-il, par le biais de résultats concrets obtenus sur des contrats de sponsoring à hauteur de milliards de FCfa. "J'ai pu trouver six sponsors pour l'Iaaf et négocier des contrats d'agences et de télévisions, pour une manne globale de presque 678 millions de dollars (339 milliards F Cfa)", affirme le patron du groupe Pamodzi. Parlant des réactions soulevées après de telles réalisations, il indique : "J'ai fait mon rapport à la commission marketing le 3 mai 2015 au Bahamas. Cela a été vivement approuvé et beaucoup de membres du conseil ne savaient même pas que je faisais ce travail, ils disaient : "il est là parce qu'il est le fils du président". Mais quand ils ont découvert les contrats que j'ai aidés l'Iaaf à boucler, avec diligence et professionnalisme, ils se sont dit que ce n'était pas tout simplement le fils du président, mais un professionnel en la matière".
Pour ce qui est de son avenir de consultant en marketing de l'Iaaf, il confie à nos confrères : "Ce n'est pas ma préoccupation principale. Moi j'étais en mission, mon contrat se termine en septembre 2015. Je suis un pro du marketing sportif depuis 25 ans. J'y ai été pendant 6 à 8 ans. Si le nouveau président a besoin de mes services, je pourrais travailler avec lui, mais il ne peut pas avoir l'exclusivité, comme c'était le cas avec le président Lamine Diack", avertit Massata Diack.
Il a risposté dit-il, par le biais de résultats concrets obtenus sur des contrats de sponsoring à hauteur de milliards de FCfa. "J'ai pu trouver six sponsors pour l'Iaaf et négocier des contrats d'agences et de télévisions, pour une manne globale de presque 678 millions de dollars (339 milliards F Cfa)", affirme le patron du groupe Pamodzi. Parlant des réactions soulevées après de telles réalisations, il indique : "J'ai fait mon rapport à la commission marketing le 3 mai 2015 au Bahamas. Cela a été vivement approuvé et beaucoup de membres du conseil ne savaient même pas que je faisais ce travail, ils disaient : "il est là parce qu'il est le fils du président". Mais quand ils ont découvert les contrats que j'ai aidés l'Iaaf à boucler, avec diligence et professionnalisme, ils se sont dit que ce n'était pas tout simplement le fils du président, mais un professionnel en la matière".
Pour ce qui est de son avenir de consultant en marketing de l'Iaaf, il confie à nos confrères : "Ce n'est pas ma préoccupation principale. Moi j'étais en mission, mon contrat se termine en septembre 2015. Je suis un pro du marketing sportif depuis 25 ans. J'y ai été pendant 6 à 8 ans. Si le nouveau président a besoin de mes services, je pourrais travailler avec lui, mais il ne peut pas avoir l'exclusivité, comme c'était le cas avec le président Lamine Diack", avertit Massata Diack.