La direction Générale tient à préciser que Senelec affirme son ancrage dans la gestion saine et transparente des deniers publics. Elle est en phase avec toute forme de reddition de comptes, particulièrement lorsqu’il s’agit de la gestion de fonds appartenant à l’ensemble de la collectivité à lui confiée.
Pour ce qui concerne la réhabilitation de la TAG3, la Direction Générale informe que l’actuel Directeur Général Monsieur Papa Dieng a trouvé le projet de ce marché sur son bureau. Il a refusé de le signer pour les raisons suivantes :
• La réhabilitation de la TAG 3 allait couter 467 millions à Senelec ;
• Le Sénégal ne disposant pas de gaz qui devrait permettre de faire fonctionner cette turbine, la seule alternative était d’utiliser du kérosène à la place ;
• Cette turbine à gaz allait produire le khw à 250 FCFA avant que Senelec ne le revend à 117 F CFA ce que la société ne saurait supporter à termes, au risque de le faire payer au contribuable sénégalais par le biais de l’Etat, à travers la compensation.
Pour la Direction générale, il s’est agi donc de s’inscrire dans la vision du mix énergétique définie par le chef de l’Etat pour une production d’électricité suffisante à moindre coût. Elle reste conforme à la politique engagée par les pouvoirs publics pour éliminer en 2017 la compensation de l’Etat qui était de 123 milliards en 2012. L’atteinte de cet objectif devrait entrainer, si tout se passe bien à une baisse des tarifs. Aussi, pour bien remplir cette mission, Senelec ne peut être que très regardante sur les coûts de production. Elle a engagé pour cela beaucoup de réformes pour arriver à une réduction de ses charges.
Senelec est favorable à une gouvernance transparente, sanctionnée par une reddition de comptes pour informer toute la communauté de l’utilisation des fonds alloués par les pouvoirs publics pour un bon fonctionnement de l’entreprise.
La Direction Générale
Pour ce qui concerne la réhabilitation de la TAG3, la Direction Générale informe que l’actuel Directeur Général Monsieur Papa Dieng a trouvé le projet de ce marché sur son bureau. Il a refusé de le signer pour les raisons suivantes :
• La réhabilitation de la TAG 3 allait couter 467 millions à Senelec ;
• Le Sénégal ne disposant pas de gaz qui devrait permettre de faire fonctionner cette turbine, la seule alternative était d’utiliser du kérosène à la place ;
• Cette turbine à gaz allait produire le khw à 250 FCFA avant que Senelec ne le revend à 117 F CFA ce que la société ne saurait supporter à termes, au risque de le faire payer au contribuable sénégalais par le biais de l’Etat, à travers la compensation.
Pour la Direction générale, il s’est agi donc de s’inscrire dans la vision du mix énergétique définie par le chef de l’Etat pour une production d’électricité suffisante à moindre coût. Elle reste conforme à la politique engagée par les pouvoirs publics pour éliminer en 2017 la compensation de l’Etat qui était de 123 milliards en 2012. L’atteinte de cet objectif devrait entrainer, si tout se passe bien à une baisse des tarifs. Aussi, pour bien remplir cette mission, Senelec ne peut être que très regardante sur les coûts de production. Elle a engagé pour cela beaucoup de réformes pour arriver à une réduction de ses charges.
Senelec est favorable à une gouvernance transparente, sanctionnée par une reddition de comptes pour informer toute la communauté de l’utilisation des fonds alloués par les pouvoirs publics pour un bon fonctionnement de l’entreprise.
La Direction Générale