On en a parlé sous les précédents régimes, mais là, c'est le comble (...) Le chef de l'Etat avait pourtant donné des instructions fermes pour que les courriers soient traités dans les meilleurs délais, mais là, je peux vous dire que beaucoup de ces lettres atterrissent tout simplement à la poubelle. À moins de faire l'effort financier, c'est-à-dire mettre la main à la poche ", confiait une source bien au fait de ces pratiques à votre site préféré.
Aujourd'hui, force est de reconnaître que celles-ci sont de l'ordre du passé, le cabinet de Macky Sall ne tolérant plus que l'espace présidentiel soit transformé en " louma ", ou marché Sandaga, où les passe-droits se monnayent rubis sur ongle. Même le détournement de certains fonds politiques (" ils n'arrivaient jamais à destination et étaient souvent captés par ceux-là même qui sont chargés de les convoyer à bon port ", selon notre source) a été banni du palais de la République.
On comprend alors mieux les cris d'orfraie desdits " courtiers ", par presse interposée, qui se plaignent que l'argent (facile) ne circule plus assez au palais de l'Avenue Roume, comme c'était le cas auparavant, et sous l'ancien régime. Des mesures salutaires à l'encontre de ceux qui voulaient transformer la présidence et qu'on ne peut que saluer. En effet, on ne peut vouloir faire de la bonne gouvernance son cheval de bataille et laisser libre cours à des pratiques mafieuses au sein même de l'espace présidentiel. Comme dit l'adage, il faut commencer par balayer devant sa porte... Et il n'était que temps !
Il en va de même pour la gabegie jadis notée autour de l'octroi de lignes téléphoniques à tout va et à tout vent. Comme annoncé dans la presse depuis plus d'un an, dans l'optique de la rationalisation des dépenses publiques, la présidence de la République a fait des économies substantielles sur les factures téléphoniques dont certaines étaient faramineuses. Aussi, plus question de disposer de crédits téléphoniques à outrance dont l'usage était trop souvent à titre non professionnel.
Aujourd'hui, force est de reconnaître que celles-ci sont de l'ordre du passé, le cabinet de Macky Sall ne tolérant plus que l'espace présidentiel soit transformé en " louma ", ou marché Sandaga, où les passe-droits se monnayent rubis sur ongle. Même le détournement de certains fonds politiques (" ils n'arrivaient jamais à destination et étaient souvent captés par ceux-là même qui sont chargés de les convoyer à bon port ", selon notre source) a été banni du palais de la République.
On comprend alors mieux les cris d'orfraie desdits " courtiers ", par presse interposée, qui se plaignent que l'argent (facile) ne circule plus assez au palais de l'Avenue Roume, comme c'était le cas auparavant, et sous l'ancien régime. Des mesures salutaires à l'encontre de ceux qui voulaient transformer la présidence et qu'on ne peut que saluer. En effet, on ne peut vouloir faire de la bonne gouvernance son cheval de bataille et laisser libre cours à des pratiques mafieuses au sein même de l'espace présidentiel. Comme dit l'adage, il faut commencer par balayer devant sa porte... Et il n'était que temps !
Il en va de même pour la gabegie jadis notée autour de l'octroi de lignes téléphoniques à tout va et à tout vent. Comme annoncé dans la presse depuis plus d'un an, dans l'optique de la rationalisation des dépenses publiques, la présidence de la République a fait des économies substantielles sur les factures téléphoniques dont certaines étaient faramineuses. Aussi, plus question de disposer de crédits téléphoniques à outrance dont l'usage était trop souvent à titre non professionnel.