Pour un meilleur devenir de notre Nation, une nouvelle initiative est venue des étudiants de l’université Cheikh Anta Diop de Dakar, à travers une vision basée essentiellement sur des valeurs citoyennes et patriotiques pour un bon fonctionnement de l’espace universitaire. Ainsi, un mouvement dénommé « Damay Djiangui » a été lancé par le ministre de l’Enseignement Supérieur, Mary Teuw Niane, ce lundi, à l'Ucad, afin de protéger les universités et d’assurer la formation pour le progrès et l’émergence du Sénégal. D’où la nécessité de promouvoir les valeurs citoyennes comme la civilité, le civisme et la solidarité.
« Pour la civilité, il s’agit d’une attitude de respect, à la fois à l’égard des autres citoyens à l’égard des bâtiments et lieux de l’espace public. Aussi, pour ce qui est du civisme, il consiste à titre individuel, à respecter et à faire respecter les lois et règles en vigueur, mais aussi à avoir conscience de ses devoirs envers la société. Et enfin, la solidarité qui est un point important dès lors que les étudiants se considèrent comme un corps social, dans une conception classique, en œuvrant ensemble pour ne pas être de simples individus juxtaposés, mais un ensemble d’hommes et de femmes attachés à un projet », a souligné le coordonnateur du Mouvement « Damay Djiangui », Pape Babacar Badji.
Selon le ministre de l’Enseignement supérieur, Mary Teuw Niane, les réformes de l’enseignement supérieur ont permis de constater des avancées dans les universités sénégalaises. D’où la nécessité de les poursuivre. Parce qu’il y a des contrats de performances qui ont été signés entre le gouvernement et les universités pour améliorer la qualité de l’enseignement supérieur. « Les universités ont beaucoup évolué ces trois dernières années », dit-il.
La marraine du Mouvement « Damay Djiangui », Ndioro Ndiaye, invite les étudiants à pacifier l’espace universitaire. « La compétition ne peut pas être ailleurs, elle doit être dans l’espace universitaire. Car l'espace universitaire est un espace social. Il faut que les étudiants acceptent que l’espace universitaire soit un espace de paix et de liberté », soutient-elle tout en renseignant que rien n’est gratuit pour les jeunes. Pour elle, le savoir s’acquiert avec tout ce qu’il faut comme investissement matériel et humain.
« Pour la civilité, il s’agit d’une attitude de respect, à la fois à l’égard des autres citoyens à l’égard des bâtiments et lieux de l’espace public. Aussi, pour ce qui est du civisme, il consiste à titre individuel, à respecter et à faire respecter les lois et règles en vigueur, mais aussi à avoir conscience de ses devoirs envers la société. Et enfin, la solidarité qui est un point important dès lors que les étudiants se considèrent comme un corps social, dans une conception classique, en œuvrant ensemble pour ne pas être de simples individus juxtaposés, mais un ensemble d’hommes et de femmes attachés à un projet », a souligné le coordonnateur du Mouvement « Damay Djiangui », Pape Babacar Badji.
Selon le ministre de l’Enseignement supérieur, Mary Teuw Niane, les réformes de l’enseignement supérieur ont permis de constater des avancées dans les universités sénégalaises. D’où la nécessité de les poursuivre. Parce qu’il y a des contrats de performances qui ont été signés entre le gouvernement et les universités pour améliorer la qualité de l’enseignement supérieur. « Les universités ont beaucoup évolué ces trois dernières années », dit-il.
La marraine du Mouvement « Damay Djiangui », Ndioro Ndiaye, invite les étudiants à pacifier l’espace universitaire. « La compétition ne peut pas être ailleurs, elle doit être dans l’espace universitaire. Car l'espace universitaire est un espace social. Il faut que les étudiants acceptent que l’espace universitaire soit un espace de paix et de liberté », soutient-elle tout en renseignant que rien n’est gratuit pour les jeunes. Pour elle, le savoir s’acquiert avec tout ce qu’il faut comme investissement matériel et humain.