Il a souligné les lenteurs administratives, demandé l’interconnexion des plateformes des différents ministères concernés et évoqué les actes dormants. «Le nombre d’enseignants décédé est important. Les comptes dormants, c’est une question douloureuse, mais des familles peinent à entrer en possession de leurs allocations familiales», dit-il.
«L’environnement scolaire et les enseignants sont des intrants de qualité. Il faut d’abord que les engagements soient respectés, et cela passe par la reconnaissance sociale et politique des enseignants», avance le secrétaire général du Cusems.
Nouveau secrétaire général du Saems, El Hadji Malick Youm se félicite de la tenue d’un Conseil interministériel sur la rentrée, mis en veilleuse depuis 6 ans. Pour lui, une «année scolaire apaisée demeure arrimée au respect du protocole d’accord. Nous invitons à mettre en place un comité de suivi pour le respect des accords. Pour nous inscrire dans une logique d’efficacité, il faut une dotation en tables-bancs en quantité suffisante, accélérer le Prorap, le nettoyage et la désinfection des écoles et l’éclatement des effectifs pléthoriques».
Pour Bacary Badiane, président de la Fédération des parents d’élèves (Fenapes), il faut régler la «lancinante question des abris provisoires. Nous souhaiterions que ça se règle le plus vite possible. C’est inadmissible qu’il y ait des écoles sans toilettes». Alors que Innocence Ntap Ndiaye a insisté sur l’élargissement de la Couverture maladie universelle, la sécurité routière et l’achèvement des travaux des infrastructures dans les universités.
Lequotidien.sn
«L’environnement scolaire et les enseignants sont des intrants de qualité. Il faut d’abord que les engagements soient respectés, et cela passe par la reconnaissance sociale et politique des enseignants», avance le secrétaire général du Cusems.
Nouveau secrétaire général du Saems, El Hadji Malick Youm se félicite de la tenue d’un Conseil interministériel sur la rentrée, mis en veilleuse depuis 6 ans. Pour lui, une «année scolaire apaisée demeure arrimée au respect du protocole d’accord. Nous invitons à mettre en place un comité de suivi pour le respect des accords. Pour nous inscrire dans une logique d’efficacité, il faut une dotation en tables-bancs en quantité suffisante, accélérer le Prorap, le nettoyage et la désinfection des écoles et l’éclatement des effectifs pléthoriques».
Pour Bacary Badiane, président de la Fédération des parents d’élèves (Fenapes), il faut régler la «lancinante question des abris provisoires. Nous souhaiterions que ça se règle le plus vite possible. C’est inadmissible qu’il y ait des écoles sans toilettes». Alors que Innocence Ntap Ndiaye a insisté sur l’élargissement de la Couverture maladie universelle, la sécurité routière et l’achèvement des travaux des infrastructures dans les universités.
Lequotidien.sn