L’Association des juristes sénégalaises (Ajs), le Forum civil, le Gradec (Groupe de recherche et d’appui conseil pour la démocratie participative et la bonne gouvernance), la Ligue sénégalaise des droits humains, la Raddho, le Réseau africain pour le développement intégré (Radi) et le Réseau Siggil Jiggen ont procédé, hier, au lancement d’une nouvelle plateforme qui vise, selon elles, à relever les défis de la participation des citoyens aux scrutins, de la prévention des conflits pré et post électoraux ainsi que de la qualité du processus.
Dans une déclaration de principes, lu lors de ce lancement, les responsables de ce nouveau cadre ont justifié leur démarche par le climat incertain qui pèse sur le calendrier électoral et des tensions qui en découlent. « Nous risquons d’assister à une rupture durable du dialogue préjudiciable à la tenue d’élections paisibles si cette tendance arrivait à se maintenir», ont alerté, d'après Sud Quotidien les responsables de cette plateforme.
Le président du Pacte, Abdou El Mazid Ndiaye, a affirmé la neutralité de ce nouvel organe du jeu politique. Selon lui, la plateforme sera un lieu de mutualisation des compétences et des ressources au service du renforcement du système électoral sénégalais, dans le respect de l’identité et de l’autonomie propre à chaque composante. S’agissant des missions, il a ajouté que la plateforme fera un plaidoyer pour l’acceptation des candidatures indépendantes, l’audition des candidats à la prochaine présidentielle pour ne citer que ça.
A noter que plusieurs personnalités, dont notamment le directeur des élections, Oumar Top, et un représentant du ministère en charge de la Promotion de la bonne gouvernance étaient de la partie. Les formations politiques n’étaient pas en reste puisque les coalitions Benno ak Tanor, Benno Siggil Seneegal et le Front patriotique pour la défense de la République... ont aussi dépêché leur représentant.
Dans une déclaration de principes, lu lors de ce lancement, les responsables de ce nouveau cadre ont justifié leur démarche par le climat incertain qui pèse sur le calendrier électoral et des tensions qui en découlent. « Nous risquons d’assister à une rupture durable du dialogue préjudiciable à la tenue d’élections paisibles si cette tendance arrivait à se maintenir», ont alerté, d'après Sud Quotidien les responsables de cette plateforme.
Le président du Pacte, Abdou El Mazid Ndiaye, a affirmé la neutralité de ce nouvel organe du jeu politique. Selon lui, la plateforme sera un lieu de mutualisation des compétences et des ressources au service du renforcement du système électoral sénégalais, dans le respect de l’identité et de l’autonomie propre à chaque composante. S’agissant des missions, il a ajouté que la plateforme fera un plaidoyer pour l’acceptation des candidatures indépendantes, l’audition des candidats à la prochaine présidentielle pour ne citer que ça.
A noter que plusieurs personnalités, dont notamment le directeur des élections, Oumar Top, et un représentant du ministère en charge de la Promotion de la bonne gouvernance étaient de la partie. Les formations politiques n’étaient pas en reste puisque les coalitions Benno ak Tanor, Benno Siggil Seneegal et le Front patriotique pour la défense de la République... ont aussi dépêché leur représentant.