Ousmane Sonko est donc un chaos ! C’est l’enseignement que suggère cette démentielle sortie du maire de Ziguinchor.
Ousmane Sonko devient fou pour le pouvoir, avec cette coalition de conglomérats (Yewwi) dans lequel se retrouvent ces gens brutes et rustres, boulimiques et inassouvis.
Sa folie destructrice le fait dévier et engendre ailleurs insultes, colères et révoltes. Ousmane Sonko est un menteur. C’est un imposteur.
Et s’il s’autoproclame chef de l’opposition, c’est alors une tragédie pour tout le Sénégal. C’est aussi une calamité.
Mais quand on est cerné de tout bord par des affaires et, non des moins glauques et répugnantes qui rappellent celles d’un habitué de lieux de débauches et autres boxons, surtout, pour quelqu’un qui prétend diriger ce pays, on ne peut s’empêcher de sortir des bêtises.
Dans l’histoire politique du Sénégal, on a connu toute sorte d’opposants politiques, de Mamadou Dia à Abdoulaye Wade et autres mais, aucun d’eux n’est tombé si bas jusqu’à tremper dans le caniveau nauséabond de la vilenie, du mensonge et de la manipulation.
Dans sa fausse diatribe plus proche de clapotis d’oiseau de mauvais augure qu’autre chose, Sonko n’a fait évoquer que des mots dont lui-même était habitué : menteur, peureux.
C’est dire que Ousmane Sonko ne s’accommode ni des principes socioculturels du Sénégal, ni des normes règlementaires des communautés religieuses, ni de valeurs républicaines.
Il est hors du climat actuel de la civilisation. Rustre et rustique, il n’a rien d’un homme politique policé, étant agreste et bucolique.
Avec son débit vocal du 16ème siècle, il s’impose en grenier de stupidités. Il rage contre religieux, les institutions, la société civile avec une indigeste spirale d’incongruités.
Ousmane Sonko est tout simplement la tragédie d’un favorisé du hasard qui ne mérite pas de présider aux destinées du Sénégal.
MOUHAMADOU LAMINE MASSALY
PCA DE L’ONFP
Président de l’UNR
Ousmane Sonko devient fou pour le pouvoir, avec cette coalition de conglomérats (Yewwi) dans lequel se retrouvent ces gens brutes et rustres, boulimiques et inassouvis.
Sa folie destructrice le fait dévier et engendre ailleurs insultes, colères et révoltes. Ousmane Sonko est un menteur. C’est un imposteur.
Et s’il s’autoproclame chef de l’opposition, c’est alors une tragédie pour tout le Sénégal. C’est aussi une calamité.
Mais quand on est cerné de tout bord par des affaires et, non des moins glauques et répugnantes qui rappellent celles d’un habitué de lieux de débauches et autres boxons, surtout, pour quelqu’un qui prétend diriger ce pays, on ne peut s’empêcher de sortir des bêtises.
Dans l’histoire politique du Sénégal, on a connu toute sorte d’opposants politiques, de Mamadou Dia à Abdoulaye Wade et autres mais, aucun d’eux n’est tombé si bas jusqu’à tremper dans le caniveau nauséabond de la vilenie, du mensonge et de la manipulation.
Dans sa fausse diatribe plus proche de clapotis d’oiseau de mauvais augure qu’autre chose, Sonko n’a fait évoquer que des mots dont lui-même était habitué : menteur, peureux.
C’est dire que Ousmane Sonko ne s’accommode ni des principes socioculturels du Sénégal, ni des normes règlementaires des communautés religieuses, ni de valeurs républicaines.
Il est hors du climat actuel de la civilisation. Rustre et rustique, il n’a rien d’un homme politique policé, étant agreste et bucolique.
Avec son débit vocal du 16ème siècle, il s’impose en grenier de stupidités. Il rage contre religieux, les institutions, la société civile avec une indigeste spirale d’incongruités.
Ousmane Sonko est tout simplement la tragédie d’un favorisé du hasard qui ne mérite pas de présider aux destinées du Sénégal.
MOUHAMADOU LAMINE MASSALY
PCA DE L’ONFP
Président de l’UNR