Ce 26 septembre 2017, cela fait 15 ans que le bateau «Joola (Dakar-Ziguinchor) sombrait au large du Sénégal. Plus de 2 000 personnes sont mortes dans ce qui est considéré comme une des plus grandes catastrophes maritimes au monde.
Aujourd’hui comme hier, les souvenirs restent vivaces dans la mémoire des proches des disparus. Des familles qui sont aujourd’hui renforcées dans leur combat pour le refoulement de l’épave du bateau, par l’avis Oumar Ndoye, Psychothérapeute et membre de la cellule d’appui psychologique mise en place par le gouvernement au lendemain du naufrage : «Ce n’est jamais trop tard pour le faire. (…) C’est maintenant, ni hier, ni demain.»
Le technicien justifie son avis par un devoir de mémoire car pour lui, le drame du « Joola » n’évoque rien et n’a aucune émotion pour un jeune de 15 et 20 ans.
«Il nous faut qu’il ait un musée réel, le Sénégal en a besoin. Psychologiquement, il faut cette empreinte psychique dans la tête de chacun, et on y arrivera pas sans sortir l’épave du fond de l’eau », argue-t-il dans un entretien avec L’Observateur.
Aujourd’hui comme hier, les souvenirs restent vivaces dans la mémoire des proches des disparus. Des familles qui sont aujourd’hui renforcées dans leur combat pour le refoulement de l’épave du bateau, par l’avis Oumar Ndoye, Psychothérapeute et membre de la cellule d’appui psychologique mise en place par le gouvernement au lendemain du naufrage : «Ce n’est jamais trop tard pour le faire. (…) C’est maintenant, ni hier, ni demain.»
Le technicien justifie son avis par un devoir de mémoire car pour lui, le drame du « Joola » n’évoque rien et n’a aucune émotion pour un jeune de 15 et 20 ans.
«Il nous faut qu’il ait un musée réel, le Sénégal en a besoin. Psychologiquement, il faut cette empreinte psychique dans la tête de chacun, et on y arrivera pas sans sortir l’épave du fond de l’eau », argue-t-il dans un entretien avec L’Observateur.