Mais, des témoins qui se sont confiés à nous, n’ont pas manqué de déplorer le «retard notoire» des secours.
«L’incident a eu lieu vers 13h, sous mes yeux. Mais il a fallu au moins 1 heure de temps pour que les sapeurs-pompiers débarquent sur les lieux», témoigne ce boutiquier qui dit avoir vu la défunte, une demi-heure avant la chute.
L’on nous informe également que la victime, qui vivait avec son grand-frère douanier, est originaire de Sokone où, elle a même passé la fête de la Tabaski. Elle est rentrée à Dakar, ce lundi, la veille de son décès.
Pour l’heure, beaucoup de spéculations se font sur les circonstances du décès d’Awa Tounkara, décrite d’ailleurs comme une fille « gentille et calme ».
Alors que certains parlent de chute accidentelle, la thèse du suicide est aussi fortement agitée dans le quartier. Au moment des faits, elle était seule dans l’appartement.
Les constats d’usage faits, la gendarmerie de la brigade de Ouakam a ouvert une enquête.
«L’incident a eu lieu vers 13h, sous mes yeux. Mais il a fallu au moins 1 heure de temps pour que les sapeurs-pompiers débarquent sur les lieux», témoigne ce boutiquier qui dit avoir vu la défunte, une demi-heure avant la chute.
L’on nous informe également que la victime, qui vivait avec son grand-frère douanier, est originaire de Sokone où, elle a même passé la fête de la Tabaski. Elle est rentrée à Dakar, ce lundi, la veille de son décès.
Pour l’heure, beaucoup de spéculations se font sur les circonstances du décès d’Awa Tounkara, décrite d’ailleurs comme une fille « gentille et calme ».
Alors que certains parlent de chute accidentelle, la thèse du suicide est aussi fortement agitée dans le quartier. Au moment des faits, elle était seule dans l’appartement.
Les constats d’usage faits, la gendarmerie de la brigade de Ouakam a ouvert une enquête.