Finalement, après une crise institutionnelle entre le Conseil constitutionnel etl’Assemblée nationale, d’une part, le Conseil constitutionnel et le président de la République, de l’autre, tout est rentré dans l’ordre après que ce dernier a accepté de se plier aux décisions des « Sept sages ».
Après plusieurs atermoiements, le dimanche 24 mars avait été retenu pour la tenue de l’élection présidentielle. C’est dans cette situation de méfiance entre le pouvoir et l’opposition, et de défiance entre le Président et les juges constitutionnels que le chef de l’Etat sortant Macky Sall a décidé de filer la patate chaude à son directeur de cabinet Mouhamadou Makhtar Cissé.
En le nommant ministre de l’Intérieur donc chargé d’organiser l’élection la plus compliquée et les plus indécise de l’histoire politique de notre pays. Brillant technocrate apolitique rompu à la tâche et soucieux des intérêts de la République, l’actuel ministre de l’Intérieur Makhtar Cissé a su répondre à l’appel du devoir.
Autrement dit, s’atteler à organiser des élections libres et transparentes. Et surtout en assurant la paix et la sécurité des personnes et des biens. Un très lourd fardeau que Mouhamadou Makhtar Cissé a porté, hier, sur les épaules en organisant de main de maître un scrutin particulièrement crucial à la grande satisfaction de tous les candidats. Pour ne pas dire tous les acteurs du processus électoral.
En tout cas, si le déroulement du scrutin a été salué par tous les candidats ainsi que les citoyens sénégalais, on le doit au ministre de l’Intérieur, l’Ige (inspecteur général d’Etat) Mouhamadou Makhtar Cissé dont le profil apolitique, on l’a dit, rassurait tout le monde, y compris les organisations de la société civile.
Nommé à deux semaines seulement d’un scrutin à hauts risques, jeté dans le chaudron électoral, l’ancien enfant de troupe Mouhamadou Makhtar Cissé a su prouver qu’il était bien l’homme de la situation ! Après avoir été envoyé en mission commando à la tête d’une Senelec presque en faillite, et qu’il avait redressée miraculeusement, voilà que l’enfant de Dagana et « talibé Cheikh », réussit en un peu plus de deux semaines le miracle d’organiser une élection présidentielle sans faute !
Le Témoin
Après plusieurs atermoiements, le dimanche 24 mars avait été retenu pour la tenue de l’élection présidentielle. C’est dans cette situation de méfiance entre le pouvoir et l’opposition, et de défiance entre le Président et les juges constitutionnels que le chef de l’Etat sortant Macky Sall a décidé de filer la patate chaude à son directeur de cabinet Mouhamadou Makhtar Cissé.
En le nommant ministre de l’Intérieur donc chargé d’organiser l’élection la plus compliquée et les plus indécise de l’histoire politique de notre pays. Brillant technocrate apolitique rompu à la tâche et soucieux des intérêts de la République, l’actuel ministre de l’Intérieur Makhtar Cissé a su répondre à l’appel du devoir.
Autrement dit, s’atteler à organiser des élections libres et transparentes. Et surtout en assurant la paix et la sécurité des personnes et des biens. Un très lourd fardeau que Mouhamadou Makhtar Cissé a porté, hier, sur les épaules en organisant de main de maître un scrutin particulièrement crucial à la grande satisfaction de tous les candidats. Pour ne pas dire tous les acteurs du processus électoral.
En tout cas, si le déroulement du scrutin a été salué par tous les candidats ainsi que les citoyens sénégalais, on le doit au ministre de l’Intérieur, l’Ige (inspecteur général d’Etat) Mouhamadou Makhtar Cissé dont le profil apolitique, on l’a dit, rassurait tout le monde, y compris les organisations de la société civile.
Nommé à deux semaines seulement d’un scrutin à hauts risques, jeté dans le chaudron électoral, l’ancien enfant de troupe Mouhamadou Makhtar Cissé a su prouver qu’il était bien l’homme de la situation ! Après avoir été envoyé en mission commando à la tête d’une Senelec presque en faillite, et qu’il avait redressée miraculeusement, voilà que l’enfant de Dagana et « talibé Cheikh », réussit en un peu plus de deux semaines le miracle d’organiser une élection présidentielle sans faute !
Le Témoin