A ce stade des faits, normalement les observateurs auraient pu se faire une opinion et avoir une lecture claire de ce qui s’est passé lors de ce fameux soir du mois de février 2021, quand Ousmane Sonko s’était rendu dans un salon de beauté, pour un exercice de massage, selon sa version, mais une jeune fille Adji Sarr qui exerçait dans cet endroit, l’accuse de l’avoir violée. Connaîtrait-on ce qui s’était réellement passé ce soir là dans ce salon de beauté ?
Comme qui dirait, des forces agissent pour que tout soit embrouillé dans cette affaire, pourtant strictement privée. Ousmane Sonko n’est pas allé loin dès que l’affaire a éclaté, pour trouver un meilleur argument de défense : « il s’agit d’un complot de l’Etat pour éliminer un adversaire qui dérange ». C’est la parole de Ousmane Sonko contre celle de Adji Sarr. Seulement, pour les forces de l’opposition, les organisations de la société civile, les activistes, seule la parole de Ousmane Sonko compte. L’Etat est vilipendé, la pauvre Adji Sarr dont on ne se soucie guère qu’elle peut être fragile, vu son jeune âge, se voit, elle, traînée dans la boue.
Le débat autour de cette affaire Ousmane Sonko – Adji Sarr a été tellement vicié qu’on risque de ne jamais connaître quelle est la vérité. Car, on a fait croire à une partie de l’opinion, qu’une affaire qui relève du domaine purement privé, est un complot ourdi par l’Etat. Une autre affaire purement privée avait opposé, elle aussi, l’ancien Premier ministre Abdoul Mbaye, aujourd’hui passé dans l’opposition, à son ex-épouse, qui l’accusait de faux dans un document administratif. Là aussi, des esprits tordus ont vite trouvé la main de l’Etat, qui aurait tout orchestré dans cette affaire. Tout comme Ousmane Sonko, Abdoul Mbaye a bénéficié du soutien conséquent d’une bonne partie de l’opposition et de la société civile.
L’affaire de trafics de visas et de passeports à laquelle seraient mêlés Kilifeu et Simon, est en train de suivre la même voie. Il y a vraiment, ni plus ni moins de la fumisterie. Le ton a ainsi été donné avec le point de presse du mouvement Y en a marre sur cette affaire. Très silencieux au début lorsque l’affaire a éclaté, Y en a marre se braque à présent et veut faire croire à l’opinion que c’est l’Etat qui manipule la justice pour affaiblir son mouvement.
Et qui voyait-on assister à ce point de presse ? Ousmane Sonko, Barthélémy Dias (qui pourtant s’était démarqué de Kilifeu) et d’autres membres de l’opposition. On se rend la pareille. Et comme toujours, l’Etat va être voué aux gémonies pour une affaire dont les protagonistes sont Kilifeu, Simon et leur présumé complice Diallo. Un présumé complice qui risque de se retrouver finalement comme étant le seul et unique coupable tel que cela se dessine. Qu’en sera-t-il des témoignages qui pourront avoir lieu ? Comme toujours, ce sont des témoins « montés » par l’Etat.
Voilà autant d’affaires, si on y ajoute celles de Karim Wade et de Khalifa Sall, qui au début sont privées, mais qui ont subi des traitements purement politiques parce que, il y en a qui ne veulent pas que la vérité puisse jaillir. Autre élément qui est important et mérite d’être souligné, ce sont toujours les mêmes avocats qui s’installent dans le rang de la défense des responsables de l’opposition ou des activistes accusés : Mes Clédor Ciré Ly, Khoureyssi Bâ, Demba Ciré Bathily, Bamba Cissé… Avec toujours, les mêmes arguments de défense. Il est temps pour l’opinion, de démasquer tous ceux qui cherchent à la manipuler.
La Rédaction de Xibaaru
Comme qui dirait, des forces agissent pour que tout soit embrouillé dans cette affaire, pourtant strictement privée. Ousmane Sonko n’est pas allé loin dès que l’affaire a éclaté, pour trouver un meilleur argument de défense : « il s’agit d’un complot de l’Etat pour éliminer un adversaire qui dérange ». C’est la parole de Ousmane Sonko contre celle de Adji Sarr. Seulement, pour les forces de l’opposition, les organisations de la société civile, les activistes, seule la parole de Ousmane Sonko compte. L’Etat est vilipendé, la pauvre Adji Sarr dont on ne se soucie guère qu’elle peut être fragile, vu son jeune âge, se voit, elle, traînée dans la boue.
Le débat autour de cette affaire Ousmane Sonko – Adji Sarr a été tellement vicié qu’on risque de ne jamais connaître quelle est la vérité. Car, on a fait croire à une partie de l’opinion, qu’une affaire qui relève du domaine purement privé, est un complot ourdi par l’Etat. Une autre affaire purement privée avait opposé, elle aussi, l’ancien Premier ministre Abdoul Mbaye, aujourd’hui passé dans l’opposition, à son ex-épouse, qui l’accusait de faux dans un document administratif. Là aussi, des esprits tordus ont vite trouvé la main de l’Etat, qui aurait tout orchestré dans cette affaire. Tout comme Ousmane Sonko, Abdoul Mbaye a bénéficié du soutien conséquent d’une bonne partie de l’opposition et de la société civile.
L’affaire de trafics de visas et de passeports à laquelle seraient mêlés Kilifeu et Simon, est en train de suivre la même voie. Il y a vraiment, ni plus ni moins de la fumisterie. Le ton a ainsi été donné avec le point de presse du mouvement Y en a marre sur cette affaire. Très silencieux au début lorsque l’affaire a éclaté, Y en a marre se braque à présent et veut faire croire à l’opinion que c’est l’Etat qui manipule la justice pour affaiblir son mouvement.
Et qui voyait-on assister à ce point de presse ? Ousmane Sonko, Barthélémy Dias (qui pourtant s’était démarqué de Kilifeu) et d’autres membres de l’opposition. On se rend la pareille. Et comme toujours, l’Etat va être voué aux gémonies pour une affaire dont les protagonistes sont Kilifeu, Simon et leur présumé complice Diallo. Un présumé complice qui risque de se retrouver finalement comme étant le seul et unique coupable tel que cela se dessine. Qu’en sera-t-il des témoignages qui pourront avoir lieu ? Comme toujours, ce sont des témoins « montés » par l’Etat.
Voilà autant d’affaires, si on y ajoute celles de Karim Wade et de Khalifa Sall, qui au début sont privées, mais qui ont subi des traitements purement politiques parce que, il y en a qui ne veulent pas que la vérité puisse jaillir. Autre élément qui est important et mérite d’être souligné, ce sont toujours les mêmes avocats qui s’installent dans le rang de la défense des responsables de l’opposition ou des activistes accusés : Mes Clédor Ciré Ly, Khoureyssi Bâ, Demba Ciré Bathily, Bamba Cissé… Avec toujours, les mêmes arguments de défense. Il est temps pour l’opinion, de démasquer tous ceux qui cherchent à la manipuler.
La Rédaction de Xibaaru