Ils ont été interpellés dans un restaurant en flagrant délit de détention, de circulation et de tentative de commercialisation de deux peaux de léopards, une espèce protégée au Sénégal. La saisie de ces deux nouvelles peaux portent à dix le nombre de peaux de léopards saisies depuis au moins cinq mois.
Un constat d’autant plus alarmant que la survie de cette espèce est fragile au Sénégal et dans toute la sous-région, fait-on savoir dans un communiqué. Ainsi, si le rythme de commercialisation des trophées de grands félins comme le léopard a augmenté ces deux dernières années au Sénégal comme dans la sous-région, c’est que le modus operandi de prélèvements illégaux des léopards en milieu naturel semble aussi avoir évolué.
Les personnes interpellées révèlent que les braconniers utilisent des moyens plus discrets et plus silencieux que les armes à feu, pour ne pas attirer l’attention des patrouilles.
Ces méthodes consisteraient entre autres à empoisonner les léopards et les lions avec des substances chimiques mortelles utilisées en agriculture, dissimulées dans de la viande de bœuf mise à la disposition des grands fauves. Ce qui les incite par la suite à détourner leur chasse naturelle vers des animaux domestiques.
L’As
Un constat d’autant plus alarmant que la survie de cette espèce est fragile au Sénégal et dans toute la sous-région, fait-on savoir dans un communiqué. Ainsi, si le rythme de commercialisation des trophées de grands félins comme le léopard a augmenté ces deux dernières années au Sénégal comme dans la sous-région, c’est que le modus operandi de prélèvements illégaux des léopards en milieu naturel semble aussi avoir évolué.
Les personnes interpellées révèlent que les braconniers utilisent des moyens plus discrets et plus silencieux que les armes à feu, pour ne pas attirer l’attention des patrouilles.
Ces méthodes consisteraient entre autres à empoisonner les léopards et les lions avec des substances chimiques mortelles utilisées en agriculture, dissimulées dans de la viande de bœuf mise à la disposition des grands fauves. Ce qui les incite par la suite à détourner leur chasse naturelle vers des animaux domestiques.
L’As