Ebola n’épargne pas la bourse des artistes. En effet, connu pour avoir mis à genoux le secteur touristique dans plusieurs pays touchés de l’Afrique occidentale, le virus à fièvre Ebola impacte négativement le business des musiciens.
Diminution de l’affluence
«Ebola peut réduire de façon significative nos chiffres d’affaires. Là où vous pouviez avoir par exemple 100 personnes, vous pouvez vous retrouver avec une cinquantaine de personnes. Donc les ressources diminuent. Ce qui fait que nous devons combattre cet ennemi. Et nous pouvons y arriver», a déclaré Pape Diouf, ce mercredi, face à la presse.
Psychose de la fermeture des frontières
Face à la propagation de l’épidémie, plusieurs pays ont fermé ou s’apprêtent à fermer leurs frontières. Ce qui inquiète l’artiste: «Moi par exemple, je sors très souvent du Sénégal pour aller me produire dans d’autres pays. Et il y a des événements que je dois organiser sur le plan international prochainement. Mais, j’hésite parce que ces pays peuvent fermer leurs frontières à tout moment. On ne sait jamais», confie l’auteur de «Partira».
Ses longes minutes à l’aéroport de Bamako
Pape Diouf expliquera aussi, que de nos jours, ils passent plus de temps à l’aéroport qu’auparavant, devant se soumettre aux contrôles médicaux des pays d’entrée. «Pas plus tard qu’avant-hier, quand je suis allé à Bamako, j’ai fait plus de 30 minutes à l’aéroport où toutes sortes de médecins sont venus nous voir. Parce qu’ils doivent voir si vous n’avez pas le virus avant que vous n’entriez dans leur pays. Et c’est avant que le récent cas d’Ebola ne soit déclaré », a confié l’artiste. SeneEbola n’épargne pas la bourse des artistes. En effet, connu pour avoir mis à genoux le secteur touristique dans plusieurs pays touchés de l’Afrique occidentale, le virus à fièvre Ebola impacte négativement le business des musiciens.
Diminution de l’affluence
«Ebola peut réduire de façon significative nos chiffres d’affaires. Là où vous pouviez avoir par exemple 100 personnes, vous pouvez vous retrouver avec une cinquantaine de personnes. Donc les ressources diminuent. Ce qui fait que nous devons combattre cet ennemi. Et nous pouvons y arriver», a déclaré Pape Diouf, ce mercredi, face à la presse.
Psychose de la fermeture des frontières
Face à la propagation de l’épidémie, plusieurs pays ont fermé ou s’apprêtent à fermer leurs frontières. Ce qui inquiète l’artiste: «Moi par exemple, je sors très souvent du Sénégal pour aller me produire dans d’autres pays. Et il y a des événements que je dois organiser sur le plan international prochainement. Mais, j’hésite parce que ces pays peuvent fermer leurs frontières à tout moment. On ne sait jamais», confie l’auteur de «Partira».
Ses longes minutes à l’aéroport de Bamako
Pape Diouf expliquera aussi, que de nos jours, ils passent plus de temps à l’aéroport qu’auparavant, devant se soumettre aux contrôles médicaux des pays d’entrée. «Pas plus tard qu’avant-hier, quand je suis allé à Bamako, j’ai fait plus de 30 minutes à l’aéroport où toutes sortes de médecins sont venus nous voir. Parce qu’ils doivent voir si vous n’avez pas le virus avant que vous n’entriez dans leur pays. Et c’est avant que le récent cas d’Ebola ne soit déclaré », a confié l’artiste. Seneweb.com