En effet, dans une lettre rendue publique, ses accusateurs, demandent à l'Onu d'annuler sa nomination au motif qu'elle était responsable de l'instigation d'une culture de la peur et d'un régime autoritaire au sein des structures placées sous son contrôle, indique le journal.
Elle est aussi accusée d'avoir une approche de porte fermée, d'être très sélective dans son style de gestion et de partialité. Mais également de discriminations et préjugés raciaux et géographiques, en faveur de ceux qui sont ouest-africains (de préférence du Sénégal) et francophones, ajoute le journal.
Elle est aussi accusée d'avoir une approche de porte fermée, d'être très sélective dans son style de gestion et de partialité. Mais également de discriminations et préjugés raciaux et géographiques, en faveur de ceux qui sont ouest-africains (de préférence du Sénégal) et francophones, ajoute le journal.