D’aucuns soutiennent que les réseaux sont des fabriques de la haine. Les plateformes sociales sont en voie de passer d’un espace des combats humains les plus honorables et de transformations démocratiques majeures en espace de manipulations, de diffamations, d’insultes, de divulgation de la vie privée et de propagation de la haine. Dans son ouvrage : «Les 7 péchés capitaux des réseaux sociaux» publié chez Michalon, Bénédicte Flye Sainte Marie soutient que les réseaux sociaux se muent malheureusement beaucoup plus souvent en vaste marigot d’aigreur qu’en charmant et réjouissant champ de libre opinion. Au banc des accusés, les GAFAM ! Mais certains d’entre eux disent être préoccupés par cette situation et tentent d’inverser cette tendance en adoptant de nouvelles politiques.
Joint par «L’As», la Responsable communication de l’ensemble des applications du Groupe Meta (Facebook, Instagram, WhatsApp, Quest) pour l’Afrique subsaharienne francophone est revenue sur les mesures de sécurité mises en place par Meta pour protéger les utilisateurs des plateformes sociales contre le contenu abusif (discours haineux, nudité, etc.). Selon Olivia Nloga, le groupe Meta s’est engagé à protéger les jeunes utilisateurs sur ses plateformes, à lutter contre le harcèlement en ligne et veiller à identifier et supprimer tout contenu nuisible, allant de discours haineux à l’intimidation, ou tout autre contenu susceptible de leur causer du tort. «Nos plateformes Facebook et Instagram sont déjà bien avancées dans le développement des outils de sécurité pour protéger l’ensemble de nos communautés pour que ces espaces de socialisation demeurent des lieux d’échanges positifs et de communication sécurisée pour tous nos utilisateurs», a-t-elle soutenu. Poursuivant, elle affirme qu’en plus de répondre aux signalements des communautés, et audelà des messages privés, Meta a programmé des algorithmes pour rechercher de manière proactive les contenus susceptibles d'enfreindre les règles de sécurité de l’ensemble de ces plateformes. «Entre avril et juin 2022, nos équipes sont intervenues sur plus de 17 millions de messages haineux sur Facebook et Instagram ; 90% de ces contenus ont été découverts avant même qu’ils ne soient signalés par les utilisateurs», révèle-t-elle.
Les bienfaits des réseaux sociaux
Par ailleurs, «L’As» a abordé le contexte digital sénégalais en demandant à Mme Olivia Nloga de lui faire l’état des lieux. A l’en croire, au Sénégal, la technologie évolue rapidement et de plus en plus de personnes sont connectées en ligne. Elle estime que les outils digitaux jouent un rôle important dans cette dynamique en offrant un large horizon d’opportunités. «Facebook, Instagram sont parmi les applications les plus populaires au Sénégal et WhatsApp est une des applications les plus utilisées pour partager des informations, promouvoir des entreprises, sensibiliser à des causes importantes…». Quid de l’usage commun des Sénégalais des outils de Meta ? Elle soutient que les Sénégalais utilisent les plateformes de Meta (Facebook) non seulement pour communiquer avec leurs proches, créer, vendre ou acheter en ligne, mais aussi pour mettre en avant leurs talents. «Nos applications sont aussi utilisées par les petites, moyennes et grandes entreprises pour promouvoir leurs produits, investir dans de nouveaux marchés et faire du business en ligne. (…)», affirme-t-elle.
Parlant toujours des bienfaits des réseaux sociaux, elle a pris l’exemple des groupes WhatsApp qui ont permis à certains établissements scolaires, durant la Coupe du Monde de football, de communiquer rapidement et efficacement avec les parents d’élèves lors des changements d’horaires de dernière minute, lors des matchs des Lions de la Teranga. «Cela montre bien l'utilité de WhatsApp dans la vie quotidienne des Sénégalais», a-t-elle conclu.
L'As
Joint par «L’As», la Responsable communication de l’ensemble des applications du Groupe Meta (Facebook, Instagram, WhatsApp, Quest) pour l’Afrique subsaharienne francophone est revenue sur les mesures de sécurité mises en place par Meta pour protéger les utilisateurs des plateformes sociales contre le contenu abusif (discours haineux, nudité, etc.). Selon Olivia Nloga, le groupe Meta s’est engagé à protéger les jeunes utilisateurs sur ses plateformes, à lutter contre le harcèlement en ligne et veiller à identifier et supprimer tout contenu nuisible, allant de discours haineux à l’intimidation, ou tout autre contenu susceptible de leur causer du tort. «Nos plateformes Facebook et Instagram sont déjà bien avancées dans le développement des outils de sécurité pour protéger l’ensemble de nos communautés pour que ces espaces de socialisation demeurent des lieux d’échanges positifs et de communication sécurisée pour tous nos utilisateurs», a-t-elle soutenu. Poursuivant, elle affirme qu’en plus de répondre aux signalements des communautés, et audelà des messages privés, Meta a programmé des algorithmes pour rechercher de manière proactive les contenus susceptibles d'enfreindre les règles de sécurité de l’ensemble de ces plateformes. «Entre avril et juin 2022, nos équipes sont intervenues sur plus de 17 millions de messages haineux sur Facebook et Instagram ; 90% de ces contenus ont été découverts avant même qu’ils ne soient signalés par les utilisateurs», révèle-t-elle.
Les bienfaits des réseaux sociaux
Par ailleurs, «L’As» a abordé le contexte digital sénégalais en demandant à Mme Olivia Nloga de lui faire l’état des lieux. A l’en croire, au Sénégal, la technologie évolue rapidement et de plus en plus de personnes sont connectées en ligne. Elle estime que les outils digitaux jouent un rôle important dans cette dynamique en offrant un large horizon d’opportunités. «Facebook, Instagram sont parmi les applications les plus populaires au Sénégal et WhatsApp est une des applications les plus utilisées pour partager des informations, promouvoir des entreprises, sensibiliser à des causes importantes…». Quid de l’usage commun des Sénégalais des outils de Meta ? Elle soutient que les Sénégalais utilisent les plateformes de Meta (Facebook) non seulement pour communiquer avec leurs proches, créer, vendre ou acheter en ligne, mais aussi pour mettre en avant leurs talents. «Nos applications sont aussi utilisées par les petites, moyennes et grandes entreprises pour promouvoir leurs produits, investir dans de nouveaux marchés et faire du business en ligne. (…)», affirme-t-elle.
Parlant toujours des bienfaits des réseaux sociaux, elle a pris l’exemple des groupes WhatsApp qui ont permis à certains établissements scolaires, durant la Coupe du Monde de football, de communiquer rapidement et efficacement avec les parents d’élèves lors des changements d’horaires de dernière minute, lors des matchs des Lions de la Teranga. «Cela montre bien l'utilité de WhatsApp dans la vie quotidienne des Sénégalais», a-t-elle conclu.
L'As