L’ancien ministre de la pêche, a apporté des précisions sur l’affaire des licences de pêche auxquelles il est accusé de les avoir octroyés à des navires étrangers. Sur les ondes de la Radio télévision sénégalaise (RTS1) le maire de Dakar Plateau de rappeler que « Quand les gens le disaient, je disais Alioune Ndoye n’a pas donné de licence nouvelle. Parce que c’est un cheminement, les licences. Il y a la demande, il y a commission consultative jusqu’à la décision du ministre. »
Cependant Alioune Ndoye dit avoir vu « des gens qui ont eu leurs processus finalisés et ils sont deux, à savoir énumère-t-il : « établissement Baye Niasse, je crois qu’ils sont à deux navires, chez les établissements FT2, Fatou Thiam. On dit que c’est des prêts noms, allez au port voir les installations de ceux-là. Est-ce que ceux qui le disent ont les mêmes installations ? Je ne crois pas », a-t-il indiqué.
A cet égard précise l’ancien ministre de la pêche, « Quand je prends ces deux-là, je ne dis même pas mon prédécesseur. C’est avant mon prédécesseurs qu’ils avaient bouclé tous ces cheminements-là, à savoir la commission et tout jusqu’à la lettre d’approbation du ministre qui était là. »
Le responsable socialiste, non moins, membre du bureau politique du (PS) a dans le même sillage balayé de force l’information selon laquelle, sur 109 bateaux il n’y a que 49 qui ne disposent pas de licences. « C’est archi-faux. Parce que ces gens qui le disent, ils sont associés à des européens. Ils ne sont pas propriétaires à 100%. Les gens à qui ils revendent, nous savons à qui ils sont », réfute l’invité de l’émission Point de vue sur la Rts1.
Toujours dans sa tentative de laver son honneur, Alioune Ndoye se dit désolé d’avoir eu à entendre un regret du GAIPES qui selon lui disait que le ministre aurait dû attendre la réponse de l’Ofnac. Sur ce point précis précise-t-il « D’abord je ne savais pas qu’ils ont fait une accusation à l’Ofnac. Ensuite cela ne me lie pas. Ils ont fait des accusations de concussions etc. »
« L’Ofnac dans son rapport, qu’est-ce qu’il a dit par rapport çà ? Ils ont dit qu’aucun des éléments ne permettaient de dire… et cette période ne s’adressait pas à moi. C’était une période qui va couvrir de 2014 à 2019, j’ai été ministre le 14 novembre 2019 », a argué l’ancien ministre.
Sudquotidien.sn
Cependant Alioune Ndoye dit avoir vu « des gens qui ont eu leurs processus finalisés et ils sont deux, à savoir énumère-t-il : « établissement Baye Niasse, je crois qu’ils sont à deux navires, chez les établissements FT2, Fatou Thiam. On dit que c’est des prêts noms, allez au port voir les installations de ceux-là. Est-ce que ceux qui le disent ont les mêmes installations ? Je ne crois pas », a-t-il indiqué.
A cet égard précise l’ancien ministre de la pêche, « Quand je prends ces deux-là, je ne dis même pas mon prédécesseur. C’est avant mon prédécesseurs qu’ils avaient bouclé tous ces cheminements-là, à savoir la commission et tout jusqu’à la lettre d’approbation du ministre qui était là. »
Le responsable socialiste, non moins, membre du bureau politique du (PS) a dans le même sillage balayé de force l’information selon laquelle, sur 109 bateaux il n’y a que 49 qui ne disposent pas de licences. « C’est archi-faux. Parce que ces gens qui le disent, ils sont associés à des européens. Ils ne sont pas propriétaires à 100%. Les gens à qui ils revendent, nous savons à qui ils sont », réfute l’invité de l’émission Point de vue sur la Rts1.
Toujours dans sa tentative de laver son honneur, Alioune Ndoye se dit désolé d’avoir eu à entendre un regret du GAIPES qui selon lui disait que le ministre aurait dû attendre la réponse de l’Ofnac. Sur ce point précis précise-t-il « D’abord je ne savais pas qu’ils ont fait une accusation à l’Ofnac. Ensuite cela ne me lie pas. Ils ont fait des accusations de concussions etc. »
« L’Ofnac dans son rapport, qu’est-ce qu’il a dit par rapport çà ? Ils ont dit qu’aucun des éléments ne permettaient de dire… et cette période ne s’adressait pas à moi. C’était une période qui va couvrir de 2014 à 2019, j’ai été ministre le 14 novembre 2019 », a argué l’ancien ministre.
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