Après avoir occupé illégalement les trottoirs, les ronds-points, les toits de voitures et les autoroutes à péage, il ne leur restait que les passerelles pour piétons ou ponts urbains. Ça y est c’est fait ! Car les marchands ambulants et autres vendeurs à l’étalage ont déjà pris possession des passerelles avec une occupation à la fois anarchique et audacieuse. La preuve par la passerelle de la Patte d’oie-Builders à Dakar. Etant un habitué de ce tronçon, « Le Témoin » quotidien a constaté que les talibés ont fini par « chasser » les malades mentaux de la passerelle.
Ensuite, mentionne LeTémoin, les mendiants, à force de squatter massivement la structure, ont fait déguerpir les talibés. Maintenant, c’est au tour des marchands ambulants de montrer leur puissance anarchique en virant les pauvres mendiants de…l’air. Au finish, marchands ambulants et vendeurs à l’étalage ont fini de s’emparer des lieux jusque dans les escaliers. Mêmes les gendarmes en faction permanente en bordure de route semblent être dépassés par la défiguration de cette passerelle transformée en marché aux puces : accessoires pour téléphones portables, fruits et légumes, café-touba, chaussures, vêtements etc. Aujourd’hui Dakar est à l’ère des marchés-passerelles, demain les marchés-cimetières. Car évidemment, à ce rythme, ne soyez pas surpris de voir les marchands ambulants prendre possession des cimetières de Dakar après avoir « chassé » les morts.
Ensuite, mentionne LeTémoin, les mendiants, à force de squatter massivement la structure, ont fait déguerpir les talibés. Maintenant, c’est au tour des marchands ambulants de montrer leur puissance anarchique en virant les pauvres mendiants de…l’air. Au finish, marchands ambulants et vendeurs à l’étalage ont fini de s’emparer des lieux jusque dans les escaliers. Mêmes les gendarmes en faction permanente en bordure de route semblent être dépassés par la défiguration de cette passerelle transformée en marché aux puces : accessoires pour téléphones portables, fruits et légumes, café-touba, chaussures, vêtements etc. Aujourd’hui Dakar est à l’ère des marchés-passerelles, demain les marchés-cimetières. Car évidemment, à ce rythme, ne soyez pas surpris de voir les marchands ambulants prendre possession des cimetières de Dakar après avoir « chassé » les morts.