«Ça va sortir demain dans le Washington Post - on ne peut pas dire que ça soit de la presse de caniveau - sur une liaison supposée entre le président Barack Obama et Beyoncé. Je peux vous assurer que le monde entier va en parler», a dit ce matin, le photographe au micro d'Europe 1. La nouvelle a aussitôt affolé le Web et les médias internationaux.
Cet après-midi, la direction du Washington Post dément formellement cette information. Interrogé par Vanity Fair France , Kristine Coratti, la directrice de la communication du quotidien américain indique: «Je peux vous dire que c'est faux». Elle ajoute: «Le Washington Post ne prépare pas d'articles» de ce genre.
De son côté, Pascal Rostain a fait machine arrière dans une interview publiée cet après-midi sur le site www.public.fr. Ce magazine people est la propriété du groupe Lagardère tout comme Paris Match, magazine dont Rostain est l'un des plus célèbres photographes.
«Il semblerait que les relations entre Barack et Michele Obama ne soient plus au beau fixe depuis plusieurs semaines, explique Pascal Rostain. D'après ce que je sais, c'est même très glacial entre Barack et Michele. Mais je n'en sais pas plus. Le Washington Post notamment travaille sur le dossier depuis plusieurs semaines. J'ai eu l'un de leurs journalistes hier au téléphone. Mais il n'y a pas qu'eux. D'autres titres mènent leur enquête en ce moment. J'ai eu un autre journaliste du Financial Times qui voulait savoir comment l'affaire Hollande-Gayet avait été perçue chez nous. Donc c'est évident qu'il se passe quelque chose autour du couple Obama outre Atlantique.»
La question est désormais de comprendre pourquoi Pascal Rostain a, par deux fois, tenu les mêmes propos sur le couple Obama. D'abord dans le quotidien suisse Le Matin ce week-end puis ce matin au micro d'Europe 1. Est-ce un trait d'humour déplacé? La volonté de faire parler de lui? D'autres, comme la radio suédoise SR se demandent s'il a été menacé et forcé à faire machine arrière. Mystère.
Cet après-midi, la direction du Washington Post dément formellement cette information. Interrogé par Vanity Fair France , Kristine Coratti, la directrice de la communication du quotidien américain indique: «Je peux vous dire que c'est faux». Elle ajoute: «Le Washington Post ne prépare pas d'articles» de ce genre.
De son côté, Pascal Rostain a fait machine arrière dans une interview publiée cet après-midi sur le site www.public.fr. Ce magazine people est la propriété du groupe Lagardère tout comme Paris Match, magazine dont Rostain est l'un des plus célèbres photographes.
«Il semblerait que les relations entre Barack et Michele Obama ne soient plus au beau fixe depuis plusieurs semaines, explique Pascal Rostain. D'après ce que je sais, c'est même très glacial entre Barack et Michele. Mais je n'en sais pas plus. Le Washington Post notamment travaille sur le dossier depuis plusieurs semaines. J'ai eu l'un de leurs journalistes hier au téléphone. Mais il n'y a pas qu'eux. D'autres titres mènent leur enquête en ce moment. J'ai eu un autre journaliste du Financial Times qui voulait savoir comment l'affaire Hollande-Gayet avait été perçue chez nous. Donc c'est évident qu'il se passe quelque chose autour du couple Obama outre Atlantique.»
Les médias américains sortiront leur scoop quand «ils seront sûrs d'eux à 150 %»
Selon Pascal Rostain, les médias américains sortiront leur scoop, quand «ils seront sûrs d'eux à 150 %. Aux États-Unis, la loi n'est pas la même qu'en France. Ils ne seront condamnés que si ce qu'ils disent est faux donc ils n'ont pas intérêt à se tromper. Ce n'est pas comme chez nous où dès lors que vous sortez quelque chose de privé sur un couple, vous pouvez être condamnés pour atteinte à la vie privée. C'est d'ailleurs ce qui risque d'arriver au magazine qui a sorti le scoop Gayet-Hollande. Je ne sais pas quand cette affaire - si affaire il y a - sortira.»La question est désormais de comprendre pourquoi Pascal Rostain a, par deux fois, tenu les mêmes propos sur le couple Obama. D'abord dans le quotidien suisse Le Matin ce week-end puis ce matin au micro d'Europe 1. Est-ce un trait d'humour déplacé? La volonté de faire parler de lui? D'autres, comme la radio suédoise SR se demandent s'il a été menacé et forcé à faire machine arrière. Mystère.