Ces allégations « éculées, sans intérêt, et honteuses » sont celles de « dirigeants sionistes [qui] ne voient pas d'autres moyens pour assurer la survie de leur régime illégal que de menacer les autres en usant d'un bluff ressassé », avance le ministère dans ce communiqué publié sur son site internet. « Netanyahu et le tristement célèbre régime sioniste tueur d'enfants devraient pourtant comprendre que l'opinion publique mondiale est suffisamment éduquée et sage » pour ne pas croire de tels propos, conclut le texte.
Un accord en suspens
Benjamin Netanyahu a affirmé lundi soir devant les télévisions israéliennes qu'Israël disposait de « preuves concluantes » sur l'existence d'un plan « secret » que l'Iran pourrait activer à tout moment pour se doter de la bombe atomique.
Le Premier ministre israélien a tenu ces propos alors que le président américain Donald Trump doit annoncer d'ici au 12 mai s'il retire, comme il a menacé à de nombreuses reprises, ou non les États-Unis de l'accord international sur le nucléaire iranien conclu en juillet 2015 à Vienne.Cet accord entre la République islamique et le Groupe 5+1 (Chine, États-Unis, France, Grande-Bretagne, Russie et Allemagne) prévoit la limitation du programme nucléaire iranien en échange de la levée des sanctions internationales.
Pourfendu depuis le début par Benjamin Netanyahu, l'accord de Vienne est présenté par ses partisans comme le meilleur moyen d'éviter que l'Iran n'obtienne l'arme nucléaire.
Le ministre des Affaires étrangères iranien Mohammad Javad Zarif avait réfuté dès lundi soir les accusations de M. Netanyahu en les qualifiant de «pseudo-révélations» du «garçon qui crie au loup».
20minutes.fr
Un accord en suspens
Benjamin Netanyahu a affirmé lundi soir devant les télévisions israéliennes qu'Israël disposait de « preuves concluantes » sur l'existence d'un plan « secret » que l'Iran pourrait activer à tout moment pour se doter de la bombe atomique.
Le Premier ministre israélien a tenu ces propos alors que le président américain Donald Trump doit annoncer d'ici au 12 mai s'il retire, comme il a menacé à de nombreuses reprises, ou non les États-Unis de l'accord international sur le nucléaire iranien conclu en juillet 2015 à Vienne.Cet accord entre la République islamique et le Groupe 5+1 (Chine, États-Unis, France, Grande-Bretagne, Russie et Allemagne) prévoit la limitation du programme nucléaire iranien en échange de la levée des sanctions internationales.
Pourfendu depuis le début par Benjamin Netanyahu, l'accord de Vienne est présenté par ses partisans comme le meilleur moyen d'éviter que l'Iran n'obtienne l'arme nucléaire.
Le ministre des Affaires étrangères iranien Mohammad Javad Zarif avait réfuté dès lundi soir les accusations de M. Netanyahu en les qualifiant de «pseudo-révélations» du «garçon qui crie au loup».
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