« Le ministère public a ordonné le gel des comptes bancaires dans le cadre de la demande de coopération judiciaire internationale adressée par les autorités angolaises », a déclaré à l’AFP un porte-parole du parquet portugais.
En mi-janvier, les révélations « Luanda Leaks » par le Consortium international des journalistes d’investigations (ICIJ), ont levé le voile sur les dessous de l’empire financier d’Isabel dos Santos. Selon le groupe, elle avait accumulé de manière frauduleuse une fortune estimée à 1,8 milliard d’euros.
Mme dos Santos rejette les accusations portées à son encontre, affirmant qu’elle est victime d’une chasse aux sorcières. Elle déclare avoir pris des mesures, « pour agir légalement » contre ces accusateurs.
Isabel Dos Santos, 46 ans, vit en Europe depuis que le président Joao Lourenco l’a licenciée de la tête de la société pétrolière d’État Sonangol, en 2017.
Elle a été inculpée par les procureurs angolais pour une série de délits financiers, notamment le blanchiment d’argent et la falsification de documents.
Le procureur général angolais Helder Pitta Gros s’est rendu au Portugal en janvier, pour demander l’aide des autorités portugaises sur cette affaire.
En mi-janvier, les révélations « Luanda Leaks » par le Consortium international des journalistes d’investigations (ICIJ), ont levé le voile sur les dessous de l’empire financier d’Isabel dos Santos. Selon le groupe, elle avait accumulé de manière frauduleuse une fortune estimée à 1,8 milliard d’euros.
Mme dos Santos rejette les accusations portées à son encontre, affirmant qu’elle est victime d’une chasse aux sorcières. Elle déclare avoir pris des mesures, « pour agir légalement » contre ces accusateurs.
Isabel Dos Santos, 46 ans, vit en Europe depuis que le président Joao Lourenco l’a licenciée de la tête de la société pétrolière d’État Sonangol, en 2017.
Elle a été inculpée par les procureurs angolais pour une série de délits financiers, notamment le blanchiment d’argent et la falsification de documents.
Le procureur général angolais Helder Pitta Gros s’est rendu au Portugal en janvier, pour demander l’aide des autorités portugaises sur cette affaire.