Lors de certaines cérémonies organisées par des artistes chanteurs, les femmes se distinguent à travers une vulgarité vestimentaire qui ne dit pas son nom. Pourtant, relève le professeur de civisme et citoyenneté au collège Les Pédagogues, « on peut être belle, jolie, charmante voire sexy sans pour autant être vulgaire ». Mais c’est dommage, dira M. Mouhamed Habibou Diallo, pour qui, « ces filles sont sans élévation d’esprit et ne font que verser dans grossièreté ».
Si ça ne se limitait qu’à l’habillement vulgaire. En effet, la tendance est de s’offrir nue tout en partageant des photos ou vidéos sur les réseaux sociaux. Surtout sur whatsapp. Là où elles se lancent véritablement dans des séances pornographiques, avec des positions inimaginables.
On se souvient encore fraichement de la danseuse non moins artiste dont les photos à caractère pornographique, ont fini de faire le tour du monde et dont le dossier est encore pendant devant la justice…
« J’ai vu des jeunes dames avec ces goûts vulgaires, qui ont pensé en mettre plein la vue de par la nudité. Alors qu’elles pensent dans leur tête, être à la hauteur pour avoir réussi un exploit, elles tombent dans l’ordinaire, le prosaïque, la bassesse avec un manque de discernement, d’éducation, et de délicatesse », a indiqué l’homme politique Demba Malakou, dont le discours prône pour « une beauté intérieure chez la femme ».
Avec cet « excès d’engagement », comme l’a dit le psychologue-enseignant Papa Demba Sy, « elles n’ont qu’un seul objectif. C’’est de se faire voir et pour ce genre de filles, c’est un plaisir de donner plaisir à des spectacles et aux visiteurs qui en raffolent », une position que partage on collègue, Kouamé Aimé Justin.
Et les à en croire, les femmes sont beaucoup plus exposées dans le monde car elles sont des êtres faibles. Mais leur faiblesse n’est pas aussi un défaut mais une qualité que Dieu leur a donnée pour se faire plus aimer par l’homme. « Malheureusement, le diable profite de cette faiblesse pour les détruire par la séduction et la puissante arme qu’il utilise aujourd’hui, c’est malheureusement l’argent », a-t-il expliqué. Ou encore « un désir voire un challenge », comme l’a indiqué M. Sy Papa Demba.
Mais « c’est seulement après une délivrance ou au cours de plusieurs conseils, que ces filles audacieuses arriveront à déterminer que ce qu’elles faisaient, n’étaient pas bon pour la société en général, et particulièrement, le cadre familial ».
Le Témoin
Si ça ne se limitait qu’à l’habillement vulgaire. En effet, la tendance est de s’offrir nue tout en partageant des photos ou vidéos sur les réseaux sociaux. Surtout sur whatsapp. Là où elles se lancent véritablement dans des séances pornographiques, avec des positions inimaginables.
On se souvient encore fraichement de la danseuse non moins artiste dont les photos à caractère pornographique, ont fini de faire le tour du monde et dont le dossier est encore pendant devant la justice…
« J’ai vu des jeunes dames avec ces goûts vulgaires, qui ont pensé en mettre plein la vue de par la nudité. Alors qu’elles pensent dans leur tête, être à la hauteur pour avoir réussi un exploit, elles tombent dans l’ordinaire, le prosaïque, la bassesse avec un manque de discernement, d’éducation, et de délicatesse », a indiqué l’homme politique Demba Malakou, dont le discours prône pour « une beauté intérieure chez la femme ».
Avec cet « excès d’engagement », comme l’a dit le psychologue-enseignant Papa Demba Sy, « elles n’ont qu’un seul objectif. C’’est de se faire voir et pour ce genre de filles, c’est un plaisir de donner plaisir à des spectacles et aux visiteurs qui en raffolent », une position que partage on collègue, Kouamé Aimé Justin.
Et les à en croire, les femmes sont beaucoup plus exposées dans le monde car elles sont des êtres faibles. Mais leur faiblesse n’est pas aussi un défaut mais une qualité que Dieu leur a donnée pour se faire plus aimer par l’homme. « Malheureusement, le diable profite de cette faiblesse pour les détruire par la séduction et la puissante arme qu’il utilise aujourd’hui, c’est malheureusement l’argent », a-t-il expliqué. Ou encore « un désir voire un challenge », comme l’a indiqué M. Sy Papa Demba.
Mais « c’est seulement après une délivrance ou au cours de plusieurs conseils, que ces filles audacieuses arriveront à déterminer que ce qu’elles faisaient, n’étaient pas bon pour la société en général, et particulièrement, le cadre familial ».
Le Témoin