Comme dans les maisons closes, des filles attendent à l’accueil pour conduire le client dans des pièces aménagées où les prostituées proposent leurs services discrètement contre un supplément.
En fait, le massage n’est qu’une entrée en matière, confie une employée dans un centre de ce genre. Ce qui leur permet de vivre confortablement avec des recettes pouvant avoisiner les 50 000 FCFA par jour.
Le client étant appelé à payer à l’entrée à la caisse le montant de 10.000 FCFA pour les 45 mn de massage et à verser directement entre 15 000 et 30 000 FCFA pour le volet sexuel de la prestation. Une fois pris en charge et son choix porté sur une fille, le client est soumis à un massage excitant et improvisé qui n’a rien de professionnel, ensuite "les soins particuliers" dont il devra s’acquitter par avance.
Echappant à tout contrôle et ne disposant parfois d’aucune autorisation pour exercer, ces salons ont poussé comme des champignons et provoqué le déménagement de familles entières ne supportant plus que leurs immeubles deviennent des lieux de débauche fréquentés à longueur de journée par une clientèle brouillante et vulgaire, composée de nationaux et de touristes étrangers qui se recommandent ce genre d’adresses.
En fait, le massage n’est qu’une entrée en matière, confie une employée dans un centre de ce genre. Ce qui leur permet de vivre confortablement avec des recettes pouvant avoisiner les 50 000 FCFA par jour.
Le client étant appelé à payer à l’entrée à la caisse le montant de 10.000 FCFA pour les 45 mn de massage et à verser directement entre 15 000 et 30 000 FCFA pour le volet sexuel de la prestation. Une fois pris en charge et son choix porté sur une fille, le client est soumis à un massage excitant et improvisé qui n’a rien de professionnel, ensuite "les soins particuliers" dont il devra s’acquitter par avance.
Echappant à tout contrôle et ne disposant parfois d’aucune autorisation pour exercer, ces salons ont poussé comme des champignons et provoqué le déménagement de familles entières ne supportant plus que leurs immeubles deviennent des lieux de débauche fréquentés à longueur de journée par une clientèle brouillante et vulgaire, composée de nationaux et de touristes étrangers qui se recommandent ce genre d’adresses.