Avez-vous envoyé des contrôleurs dans les marchés pour vérifier si les mesures de baisse des prix sont respectées ?
Même sans l’annonce des mesures prises dernièrement par le président de le République, nos agents sont toujours sur le terrain parce que c’est notre travail de routine.
Le service régional du commerce est le bras armé du ministère parce que nous avons des fonctions de surveillance, de régulation, de contrôle et de répression. Sans ces mesures, tous les jours, nous envoyons des équipes sur le terrain, a fortiori lorsque l’Etat prend des mesures pour une stabilisation des prix et pour soulager les populations.
C’est ainsi que depuis l’annonce de ces mesures, nous avons déployé 25 équipes sur le terrain, pour un total de 63 agents. Je couvre toute la région de Dakar (Dakar, Keur Massar, Guédiawaye, Pikine et Rufisque).
Et quelle est actuellement la situation sur le terrain ?
A la date du (Ndlr : mercredi 16 mars 2022), nous en sommes à 703 commerçants verbalisés, sanctionnés car n’ayant pas respecté la mesure de la baisse. Parce que, justement, ils ont enfreint la réglementation. Nous avons aussi relevé des cas de pratiques illicites sur le riz, le gaz butane et le sucre.
Aussi nous avons procédé à la publicité des nouveaux prix, non seulement par affichage dans les boutiques, si vous rentrez dans une boutique, vous allez voir que les prix sont bien affichés. Et ce que je dis toujours, c’est qu’on ne peut pas mettre un contrôleur devant chaque boutique. Le consommateur est le premier contrôleur.
Donc, nous sommes sur le terrain pour contrôler et nous avons procédé à l’affichage des prix dans les boutiques, maintenant, il revient aux consommateurs de jouer leur partition, non seulement en vérifiant la qualité des produits et les prix affichés, mais aussi en faisant des réclamations, des plaintes au niveau du service. Nous avons des équipes sur le terrain que nous déployons pour venir régler les cas de pratiques de prix illicites.
Quelles sont les sanctions infligées aux commerçants verbalisés ?
Concernant les commerçants qui ont été verbalisés, ils doivent payer une amende, qui au minimum s’élève à 25 000 francs. Cela peut aller jusqu’à 50 000 francs. Il y a un mode de calcul de l’appréciation de l’infraction et c’est à partir de cela que nous déterminons le montant à payer, mais ils ne vont pas payer moins de 25 000 francs.
Bes Bi
Même sans l’annonce des mesures prises dernièrement par le président de le République, nos agents sont toujours sur le terrain parce que c’est notre travail de routine.
Le service régional du commerce est le bras armé du ministère parce que nous avons des fonctions de surveillance, de régulation, de contrôle et de répression. Sans ces mesures, tous les jours, nous envoyons des équipes sur le terrain, a fortiori lorsque l’Etat prend des mesures pour une stabilisation des prix et pour soulager les populations.
C’est ainsi que depuis l’annonce de ces mesures, nous avons déployé 25 équipes sur le terrain, pour un total de 63 agents. Je couvre toute la région de Dakar (Dakar, Keur Massar, Guédiawaye, Pikine et Rufisque).
Et quelle est actuellement la situation sur le terrain ?
A la date du (Ndlr : mercredi 16 mars 2022), nous en sommes à 703 commerçants verbalisés, sanctionnés car n’ayant pas respecté la mesure de la baisse. Parce que, justement, ils ont enfreint la réglementation. Nous avons aussi relevé des cas de pratiques illicites sur le riz, le gaz butane et le sucre.
Aussi nous avons procédé à la publicité des nouveaux prix, non seulement par affichage dans les boutiques, si vous rentrez dans une boutique, vous allez voir que les prix sont bien affichés. Et ce que je dis toujours, c’est qu’on ne peut pas mettre un contrôleur devant chaque boutique. Le consommateur est le premier contrôleur.
Donc, nous sommes sur le terrain pour contrôler et nous avons procédé à l’affichage des prix dans les boutiques, maintenant, il revient aux consommateurs de jouer leur partition, non seulement en vérifiant la qualité des produits et les prix affichés, mais aussi en faisant des réclamations, des plaintes au niveau du service. Nous avons des équipes sur le terrain que nous déployons pour venir régler les cas de pratiques de prix illicites.
Quelles sont les sanctions infligées aux commerçants verbalisés ?
Concernant les commerçants qui ont été verbalisés, ils doivent payer une amende, qui au minimum s’élève à 25 000 francs. Cela peut aller jusqu’à 50 000 francs. Il y a un mode de calcul de l’appréciation de l’infraction et c’est à partir de cela que nous déterminons le montant à payer, mais ils ne vont pas payer moins de 25 000 francs.
Bes Bi