Nous tenons à lui rappeler que nous ne ménagerons aucun effort pour le respect strict de la discipline des lois et règlements en vigueur comme stipulé dans l’article 3 des Statuts de la FSBB. Il appartient au passé et pour cause : après quatre ans (2019-2023) constituant son second et dernier mandat, un second mandat marqué du reste par un net recul du basket-ball sénégalais à tous les niveaux ( incapacité à organiser le sacre du roi et de la reine, bas résultats des sélections nationales, gabegie, calendriers des championnats non maîtrisés, népotisme) Monsieur Babacar Ndiaye , comme à l’accoutumée, à l’approche des élections , organise une « tournée nationale », pour aller distribuer de l’argent et des ballons aux clubs.
Voilà un Monsieur qui fait fi de toute morale, pensant que l’argent ouvre la porte à tous les abus. À la place d’un programme de développement, il étale un projet de corruption passive, avec comme finalité l’installation de la médiocrité dans la gouvernance du basket-ball Sénégalais.
Comme en 2019, la gestion nébuleuse de Monsieur Babacar Ndiaye revient encore au devant de la scène. Il ne fournit aucune pièce justificative relative aux dépenses des 140 millions des fonds COVID et n’a presque jamais présenté de bilan financier certifié par des Commissaires aux comptes inscrits au tableau de l’Ordre National des Experts Comptables, comme exigé par les textes. Tout comme il est incapable de payer les clubs, arbitres et autres acteurs du basket pour une dette qui dépasse les 50 millions. Maintenant, au lieu de faire profil bas à moins de deux mois de la fin de son mandat, au lieu de nous préparer les documents de passation pour ses adieux au basket-ball sénégalais, Monsieur Babacar Ndiaye se pavane de ville en ville, avec son sac de corruption en bandoulière.
Le sport est une affaire de gentlemen…
A l’attention de certains présidents de clubs, la CRBS interpelle leur propre conscience pour ne pas monnayer leurs professions de foi au profit d’une corruption de basse classe, qui ne profite qu’à son auteur et non au basket national. Lui, Monsieur Babacar Ndiaye et ses porteurs de valises continueront à tourner autour des dépouilles de ce qui nous reste de plate-forme sportive, comme des vautours, mais tenez-vous bien : Ils ne vous aiment pas, ne vous prennent pas pour des présidents sérieux et respectables, mais juste pour des larbins qu’il utilise comme un bétail électoral. A nos chers journalistes, aidez à sauver le basket national. C’est tout ce que nous attendons de vous.
Enfin, la CRBS attend du gouvernement sénégalais représenté par le Ministre des Sports, Monsieur Yankhoba Diatara et du nouveau Secrétaire général de la FSBB, Monsieur Amadou Sarr, le lancement d’un nouveau processus pour des élections libres, transparentes et démocratiques, pilotées par un Comité ad hoc neutre (comme il en était avec l’élection du président de la Fédération Sénégalaise de Football), où le droit sera lu et dit, tout en précisant aussi qu’elle présentera un candidat pour la présidence et des candidats pour le bureau et le comité directeur.
La CRBS ne réclame que l’application rigoureuse des textes réglementaires, et pense en toute objectivité, que ce n’est pas trop demander. Le basketball national a trop souffert d’entorses répétitives aux règlements et de mauvaise gestion et il est temps de siffler la fin de la récréation.
Fait à Tambacounda,
le 30/03/2023
CRBS
Voilà un Monsieur qui fait fi de toute morale, pensant que l’argent ouvre la porte à tous les abus. À la place d’un programme de développement, il étale un projet de corruption passive, avec comme finalité l’installation de la médiocrité dans la gouvernance du basket-ball Sénégalais.
Comme en 2019, la gestion nébuleuse de Monsieur Babacar Ndiaye revient encore au devant de la scène. Il ne fournit aucune pièce justificative relative aux dépenses des 140 millions des fonds COVID et n’a presque jamais présenté de bilan financier certifié par des Commissaires aux comptes inscrits au tableau de l’Ordre National des Experts Comptables, comme exigé par les textes. Tout comme il est incapable de payer les clubs, arbitres et autres acteurs du basket pour une dette qui dépasse les 50 millions. Maintenant, au lieu de faire profil bas à moins de deux mois de la fin de son mandat, au lieu de nous préparer les documents de passation pour ses adieux au basket-ball sénégalais, Monsieur Babacar Ndiaye se pavane de ville en ville, avec son sac de corruption en bandoulière.
Le sport est une affaire de gentlemen…
A l’attention de certains présidents de clubs, la CRBS interpelle leur propre conscience pour ne pas monnayer leurs professions de foi au profit d’une corruption de basse classe, qui ne profite qu’à son auteur et non au basket national. Lui, Monsieur Babacar Ndiaye et ses porteurs de valises continueront à tourner autour des dépouilles de ce qui nous reste de plate-forme sportive, comme des vautours, mais tenez-vous bien : Ils ne vous aiment pas, ne vous prennent pas pour des présidents sérieux et respectables, mais juste pour des larbins qu’il utilise comme un bétail électoral. A nos chers journalistes, aidez à sauver le basket national. C’est tout ce que nous attendons de vous.
Enfin, la CRBS attend du gouvernement sénégalais représenté par le Ministre des Sports, Monsieur Yankhoba Diatara et du nouveau Secrétaire général de la FSBB, Monsieur Amadou Sarr, le lancement d’un nouveau processus pour des élections libres, transparentes et démocratiques, pilotées par un Comité ad hoc neutre (comme il en était avec l’élection du président de la Fédération Sénégalaise de Football), où le droit sera lu et dit, tout en précisant aussi qu’elle présentera un candidat pour la présidence et des candidats pour le bureau et le comité directeur.
La CRBS ne réclame que l’application rigoureuse des textes réglementaires, et pense en toute objectivité, que ce n’est pas trop demander. Le basketball national a trop souffert d’entorses répétitives aux règlements et de mauvaise gestion et il est temps de siffler la fin de la récréation.
Fait à Tambacounda,
le 30/03/2023
CRBS