A l’image de beaucoup de Sénégalais, Alioune Tine a aussi réagi sur la nomination du magistrat Abdoulaye Ndiaye comme premier président de la Cour Suprême. En effet, tout en exprimant son amitié envers le chef de l’Etat, Macky Sall, Alioune Tine fondateur de Afrikajom Center dit ne pas être en phase avec la décision prise par ce dernier. Dans un post sur son compte X (anciennement Twitter), l’ancien président de la Raddho trouve qu’une telle décision sur poste aussi stratégique, est une transgression caractérisée des règles les plus élémentaires des pouvoirs légitimes, rapporte "Sud Quotidien".
« J’aime bien le PR @Macky_Sall, mais cette décision à la veille de son départ du pouvoir, sur un poste aussi stratégique, est une transgression caractérisée des règles les plus élémentaires des pouvoirs légitimes de nomination de son successeur », a fait savoir Alioune Tine, soutenant que « le Président sortant a une légitimité finissante, il ne doit pas empiéter par courtoisie, sur les pouvoirs régaliens de son successeur ».
Bien qu’« il n’a pas encore pris fonction mais, il est élu et a l’intention de réformer la justice. C’est un empiètement sur les très prochaines prérogatives du nouveau PR Diomaye Faye », a indiqué l’ancien président de la Raddho.
De l’avis du fondateur de Afrikajom Center, « il est bon de légiférer sur les limites des pouvoirs de fin de mandat, qui sont des pouvoirs de transition », conclut-il.
« J’aime bien le PR @Macky_Sall, mais cette décision à la veille de son départ du pouvoir, sur un poste aussi stratégique, est une transgression caractérisée des règles les plus élémentaires des pouvoirs légitimes de nomination de son successeur », a fait savoir Alioune Tine, soutenant que « le Président sortant a une légitimité finissante, il ne doit pas empiéter par courtoisie, sur les pouvoirs régaliens de son successeur ».
Bien qu’« il n’a pas encore pris fonction mais, il est élu et a l’intention de réformer la justice. C’est un empiètement sur les très prochaines prérogatives du nouveau PR Diomaye Faye », a indiqué l’ancien président de la Raddho.
De l’avis du fondateur de Afrikajom Center, « il est bon de légiférer sur les limites des pouvoirs de fin de mandat, qui sont des pouvoirs de transition », conclut-il.