L’armée nigériane avait fermé en mi-septembre les locaux de l’ONG Action contre la faim qu’elle accusait de soutenir Boko Haram. Aujourd’hui les déplacés ayant fui la violence de Boko Harma sont livrés à eux-même et à la faim.
“Je ne sais pas comment je vais survivre avec mes enfants”, raconte une mère de famille, dans un camp de déplacés de Maiduguri, la capitale de l’Etat du Borno.
Action contre la faim, de même que Mercy Corps également chassée par l’armée ont suspendu tous leurs programmes d’aide.
Selon les Nations unies, près de 400.000 personnes souffrent de l’interruption de l’action de ces deux organisations. Ces personnes dont désormais « sans nourriture ni autre aide essentielle depuis un mois », informe AFP.
“Je ne sais pas comment je vais survivre avec mes enfants”, raconte une mère de famille, dans un camp de déplacés de Maiduguri, la capitale de l’Etat du Borno.
Action contre la faim, de même que Mercy Corps également chassée par l’armée ont suspendu tous leurs programmes d’aide.
Selon les Nations unies, près de 400.000 personnes souffrent de l’interruption de l’action de ces deux organisations. Ces personnes dont désormais « sans nourriture ni autre aide essentielle depuis un mois », informe AFP.