L’ancien gouverneur de Lagos (capitale économique), qui briguait la succession de Muhammau Buhari à la tête de la première puissance économique du continent africain, est arrivé en tête avec 8, 8 millions de voix, d’après les résultats provisoires publiés dans la nuit de mardi à mercredi par la Commission électorale nationale.
Il est suivi par Atiku Abubakar, 76 ans, candidat du principal parti de l’opposition, le Parti démocratique populaire (PDP). L’ancien vice-président du pays entre 1999 et 2007, crédité de 6, 9 millions de voix, en était à sa sixième participation à une élection présidentielle au Nigeria.
L’ancien gouverneur de l’Etat d’Anambra, Peter Obi, que les médias et d’autres observateurs, présentaient comme l’outsider de cette compétition électorale, est le troisième homme de cette élection présidentielle avec 6, 1 millions de suffrages.
Mardi, plusieurs candidats à l’élection présidentielle dans le pays le plus peuplé du continent africain (plus de 218 millions d’habitants) ont réclamé l’annulation du vote en remettant en cause la régularité du scrutin.
D’après la commission électorale nationale, Tinubu a rempli toutes les conditions pour être désigné vainqueur.
Pour gagner la présidentielle, un candidat doit obtenir le plus grand nombre de voix et 25 % des bulletins de vote dans au moins deux tiers des 36 Etats et à Abuja, la capitale, d’après la loi électorale.
Plus de 93 millions d’électeurs nigérians étaient appelés aux urnes samedi pour élire un président de la République parmi 18 candidats.
L’élection présidentielle est organisée dans un contexte marqué par une crise sécuritaire dans certaines zones du pays et un déficit de liquidité lié officiellement à l’inflation et à un processus de remplacement d’une partie des billets du Naira, la monnaie nationale.
Le Nigéria est la première puissance économique et militaire de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO), organisation sous régionale regroupant 15 pays dont le Sénégal.
APS
Il est suivi par Atiku Abubakar, 76 ans, candidat du principal parti de l’opposition, le Parti démocratique populaire (PDP). L’ancien vice-président du pays entre 1999 et 2007, crédité de 6, 9 millions de voix, en était à sa sixième participation à une élection présidentielle au Nigeria.
L’ancien gouverneur de l’Etat d’Anambra, Peter Obi, que les médias et d’autres observateurs, présentaient comme l’outsider de cette compétition électorale, est le troisième homme de cette élection présidentielle avec 6, 1 millions de suffrages.
Mardi, plusieurs candidats à l’élection présidentielle dans le pays le plus peuplé du continent africain (plus de 218 millions d’habitants) ont réclamé l’annulation du vote en remettant en cause la régularité du scrutin.
D’après la commission électorale nationale, Tinubu a rempli toutes les conditions pour être désigné vainqueur.
Pour gagner la présidentielle, un candidat doit obtenir le plus grand nombre de voix et 25 % des bulletins de vote dans au moins deux tiers des 36 Etats et à Abuja, la capitale, d’après la loi électorale.
Plus de 93 millions d’électeurs nigérians étaient appelés aux urnes samedi pour élire un président de la République parmi 18 candidats.
L’élection présidentielle est organisée dans un contexte marqué par une crise sécuritaire dans certaines zones du pays et un déficit de liquidité lié officiellement à l’inflation et à un processus de remplacement d’une partie des billets du Naira, la monnaie nationale.
Le Nigéria est la première puissance économique et militaire de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO), organisation sous régionale regroupant 15 pays dont le Sénégal.
APS